bas-coutures
Blog bas coutures et hauts talons
Le 26/07/2024
Bas coutures et hauts talons ... |
Promenade autour de jambes gainées de Nylon et campées dans de hauts escarpins.
Il y a ma tendre et chère aux sublimes jambes en bas coutures.
Et d'autres toutes aussi charmantes.
Note : les photos viennent toutes de mon album perso.
Son cadeau d'anniversaire
Le 18/07/2024
Mini-jupe dorée sur bas coutures |
L'hôte la débarrassa de son manteau et là on découvrit sa tenue : tunique dorée et mini-jupe dorée aussi.
Touche sexy, elle avait gardé ses grands gants en peau bleues qui montaient haut sur ses poignets
la pauvre jupe avait du mal à masquer le haut de ses bas. Ses jarretelles émergeaient du dessous en deux bosses sur le devant de la jupe, divin!
Elle se tourna et l'on put admirer ses jambes gainées de bas coutures !
Cela provoqua tollé de louanges, les éloges fusèrent.
- Yahoo! sacré p’tit lot ! avec un beau p’tit cul comme ça on ne va pas s’ennuyer !
- Oh purée , quelles jambes, quel cul ! j'en bave, comment j'vais la niquer, la labourer profond.
- Ca c'est sur on va s'éclater, la défoncer par tous les trous la petite, je bande déjà.
- T'es un p’tit chanceux toi !
Un autre vociféra : Hauts talons, bas coutures, mini-jupe. Quel cocktail explosif !
- Allez, vient donc t'assoir entre nous.
Au passage elle eu droit à un festival de mains baladeuses, caressant cuisses et fesses, la plotant allègrement mais elle s'assit entre les deux gars sans broncher, aucunes remontrances.
Le gars à sa gauche passa sa main sur sa cuisse caressant la jarretelle qui émergeait au travers de sa jupe.
Devenant plus pressant, il s'élança vers le genou.
Mais quand il remonta la cuisse retroussant la jupe, elle réagit en repoussant sa main.
-Eh faut pas de gêner !
- Oh la, petite, calme-toi, on ne te veut pas de mal, bien au contraire.
Et il lui attrapa la tête par le cou et très fort de sa main lui tenant le menton l'embrassa avec vigueur enfonçant sa langue profondément.
Le baiser fut langoureux et intense mais elle ne baissa pas la garde.
Il réattaqua et réattaqua jusqu'à elle finisse par se laisser faire.
Et il récidiva dégageant la jarretelle et le revers moiré du bas Nylon, tentant de remonter la main jusqu'entre ses cuisses mais elle le repoussait fortement attrapant son bras.
Là il s'attarda un peu, caressant du bout du doigt le clip sous le Nylon du bas et le petit ruban de soie noire.
La jupe était bien retroussée montrant sa toison rousse.
Et remonta tout en haut, il atteignit la protubérance en-dessous de la rousse toison et commença une caresse circulaire.
Mais finalement l'homme, plus fort, réussit à atteindre son but. Ses doigts s'engouffrèrent dans sa toison ardente.
Là il glissa son doigt entre les lèvres puis remonta et du bout des doigts titillant le petit bouton caché dans le haut de la vulve.
Elle semblait se calmer, il relâcha son étreinte, elle se laissa aller aux caresses.
- Hé bien, il ronronne le minou maintenant.
Elle renversa la tête, la bouche entrouverte les yeux mis -clos, on voyait qu'elle s'abandonnait (sombrait) dans un océan de voluptés.
Elle se laissa aller, bouche entrouverte, yeux mi-clos, au plaisir procuré par les caresses expertes de notre larron.
Elle poussait de petits cris tournoyant sa langue.
Puis à sa gauche fièrement dressé un gros phallus se languissait.
- Aller, vas-y, ne te fait pas prier je suis chauffé à blanc. Elle posa sa main gantée sur le membre turgescent comme si elle voulait en évaluer la qualité.
Et tournant autour, posa son pouce à la base du gland sur le frein qu'elle frotta lentement.
Puis la bouche entra en action, remontant le canal du bout de ses lèvres et tournoyant la pointe de sa langue à la base du gland.
Elle engloba son gland de ses lèvres rouges, on apercevait la langue qui s'agitait dans la bouche.
Elle alternait jeu des lèvres et jeu de langue léchant le tour de la base du gland.
Embrassant du bout des lèvres le gland puis le lécher en tournant et l'englober de nouveau et caresser avec la lèvre.
Monter descendre le canal. Engloutissant bourse jusqu'à la garde.
- Gourmande la petite hein, quel magnifique travail ! Une véritable experte, quel spectacle ! Je bande comme un taureau.
Puis à tout l’entourage :
- Ouh là ! Là ! On dirait qu'elle aime la bite, la p’tite !
Il se leva et se dirigea vers elle, il s'agenouilla, pris sa jambe pour loger son pied sous son entre-jambe.
Il se frottait à sa jambe et elle lui caressa les testicules du bout de son escarpin.
Sa respiration s'accéléra, le souffle court on sentait les prémisses de l'orgasme Les râles allaient crescendo.
Et ça termina dans des râles gigantesques et tonitruants, elle lâcha prise.
On ne sait pas si c'est ça qu'il l’a déclenché mais le gars éructa une copieuse giclée de sa semence maculant le bas Nylon mais aussi les malheureux escarpins.
Tout ça n'empêchait pas notre amie d'exécuter méticuleusement son travail de la langue, des lèvres, de la bouche sur le gland et la verge.
S'enfonçant le pieu jusqu'au fond de sa gorge jusqu'a s'étrangler puis remontant lentement la bouche serrée en tournoyant sa langue tout autour du membre turgescent.
Plus le gars gémissait plus elle s'enfonçait en tournoyant et remontant pour du bout des lèvres savourer le gland surgonflé.
Un jet jaillit jusqu'au fond de la gorge dans un râle puissant il était pris de spammes projetant son nectar un peu partout sur son visage.
Le gras s'éclipsa pour laisser la place à un autre qui s'assit à côté d'elle.
Il l'attrapa par la taille et l'empala sur son membre fièrement dressé.
Au vu ou plutôt à l'entente de ses râles de satisfaction qu'elle prodiguait les aller-retours au fin fond de son trou humide lui procurait un certain plaisir.
Et un deuxième larron s'approcha, il posa son gland sur l'orifice restant libre et le poussa pénétrant lentement, petit à petit, dans son corps.
Elle criait deux fois plus, le plaisir étant doublé.
Sa bouche étant grande ouverte un troisième gaillard s'y introduit d'enfonçant jusqu'a la gorge, ses cris s'estompèrent.
Il l'avait agrippée par sa crinière flamboyante afin qu'elle avale bien jusqu'au fond son puissant appendice.
Il la chahutait allant d'avant en arrière frottant son sexe sur ses les lèvres.
La maintenant par la crinière il faisait de violents aller-retours donnant de gros coups de butoir dans le fond sa gorge, elle s'étouffait, suffoquait.
Puis il sortit légèrement son sexe afin de la laisser lécher le pourtour du gland.
Elle était très précautionneuse passant sa langue partout malgré les coups de butoir que lui assénait l'autre type
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Au bureau après ...
Le 07/03/2025
Vue sous sa jupe de ses bas coutures |
Le matin il aimait remonter le couloir entre les bureaux, il pouvait admirer mes bas qui ondulaient le long de mes jambes, mes talons qui claquaient sur le plancher et mes jarretelles qui dessinaient leurs contours en relief sous ma jupe.
Sa main carressait mes fasses et le relief de mes jarrretelles, il me murmurai à l'oreille "Vous n'oublirez pas mon café Mademoiselle".
Et j'apportai donc son café je me posait devant lui les fesses posées contre le bureau.
Il remontait ma jupe comme pour vérifier ma tenue.
-Parfait mademoiselle.
Souvent sa main s'enfonçait dans ma toison tournicotant mes poils roux et son doigt me carressait l'interstice entre mes mes jambes ou sa bouche, ses lèvres sa langue effleurait mon pubis.
Alors je débouclais la ceinture et dézippai lentement la braguette et sortait le membre caché.
Il était déjà bien vaillant, je le caraissait du bout des doigts et apposai mes lèvres, ma langue commença à lécher le pourtour concencieusment.
Je gobai son sexe et resortis je léchouillis son frénulum puis descendis lentement en le léchant du bout de la langue
Je fis couler ma salive sur son sexe pris dans main le sexe mouillé tournoyante gobant son somqain, les deux mains faisient un twist.
Et je m'enfonçais profondememnt, son sexe touchait ma gorge, ma langue léchait ses testicules.
Enfoncée trèsprofond,son gland avait pénétré dans le fond de ma gorge.
Et un puissant jet m'inoda et me fis suffocer, des râles puissant émanaient de sa gorge.
Tout ça me procura un vériorgasme, le flux saccadé me submergait.
Je me dégageait et le flot se repandis sur sa verge toujours raide.
J'entrepris de nettoyer en avalant la chose de nouveau.
Il me semlais qu'il en voulait encore..
Je gobais le gland lechouillant le frénulum, avalant le gland et le resortant lentement.
Il gémissait à nouveau je passais ma langue sur le frein et le gland puis reintroduisis de nouveau, ma main accompagnait mes mouvement.
Je m'arretais les lévres enchassant son gland , le jus eructa de nouveau, j'ouvris la bouche et le nectar sortit coulant sur mes levres et le menton.
Ca coulait sur son sexe en gros paquets, je le ravalait et le répendait de nouveau, il gemissait toujours.
Je tournoyait autour du le membre la bouche en coueur sur le gland.
Ma langue papilionnait sur le pourtour, sortait et regobai le membre.
Et c'est lorsque j'étais sortie qu'il en profiter pour sortir une énorme giclé.
Je réussit à en récupérer un peu dans la bouche mais le plus gros fut sur mes lèvres, mes joues et le front.
- Il beuglait.
- Oh bon dieu, qu'est-ce que c'était bon, t'es une reine.
Je me raclais le visage et léchait la semence sur mes doigts.
Puis je redencendis à mon bureau, je n'avais pas vu le gros paquet sur mon col et j'espère que les collègues ne remarquèrent rien.
L'après-midi il m'appela pour que je passe le voir.
J'entrais, il me fit signe de venir à coté de lui à son bureau.
J'approchais, il m'observait.
- Tu es vraiment magnifique. assies-toi prés de moi.
Il me caressa le coup et m'embrassa à gros coup de langue,
Sa main remontait mes cuisses, il carressait les reliefs de mes jaretelles.
Puis passant sous le jupe il carresa ma toison et glissa son doigt dans mon calice.
Il enfonca son doigt et commenca un massage.
Puis il me plaqua sur le bureau, toutes les feuilles s'envollèrent.
Et délicatement il me pénétra, s'enfoncant au plus profond.
Il bougeait à peine, c'était volupteux, il nageait dans mes entrailles.
Je contractais mon vagin pour mieux le sentir, il commençait à aller venir dans corps.
Il me pénétrait puissament, je levais les jambes,
Il m'attrapa par les cuisses s'enfonçant et se retirant sans cesse.
La chaleur dans mon corps s'emplifiait, le plaisir était intenses je pouvais m'empécher de gémir.
Les vas et viens s'amplifièrent il nagaient dans mon corps, son membre éfleurait les parois humides de mon vagin ainsi que mon clitoris.
Au plus profond le plasir atteignait son zénith, je vacillais dans le nirvana.
Et lorsque accompagné d'un puissant cri il m'inonda, j'atteignais l'orgasme.
Je tombait dans un coma orgasmique un léger bruissement sortait de ma gorge.
Nous restions un momemt immobiles savourant nos orgasmes.
Et le soir en guise d'au revoir, j'avais moi aussi une petite gaterie
Avant de partir je montais à son bureau.
Il me conviait à venir près de lui, là il me plaqua sur le bureau.
Retroussa ma jupe et enfonca sa tete dans mes fèess.
Il léchait ma raie et pénétrait de sa langue dans mon anus.
Il poussait des grognements intenses la bave coulait sur mes fesses.
C'était fort plaisant, je miaulais comme une chatte.
Tout changea quand entra en action son membre turgescent.
e passais de chatte à lionne , de miaulement à rugissements.
Une journée bien remplie!
Mais lion d'étre finie, j'avais encore à affronter les affres du métro et leur continelles caresses sur les bosses que faisaient mes jarettelles et mes fesses.
Puis à la maison remplir mes devoirs conjugaux en bonne épouse.
Fellation au retour de mon copain puis multiples ramonages jusqu'à l'assaut final avant de s'endormir.
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De retour à la maison
Le 24/03/2025
Ecroulée sur mon transat. |
J'étais encore toute éxcitée des carresses prodigué par les mecs qui me tripotaient dans le métro.
Ma main sur la cuisse je remontais et retrousais la jupe et commençaits à me caresser l'entre-jambe.
Remontant de la fente humide de mon sexe à l'ouverture, je titillais mon clitoris.
J'attrapais ma chaussure et me frottais avec, le talon carressait mon clitoris.
Mon souffle devinplus court, la chaleur envahie mon bas-ventre, le plaisir entrait en moi.
C'était de plus en plus fort, plus jouissif.
Et l'orgasme éclata, je poussait un cri et m'endormie.
Mon ami rentra et le bruit de la porte me réveilla.
- Bonsoir, tu ravissante ce soir, tu as du faire des ravages au bureau au j'ourd'hui.
- Mais non, viens plutôt près de moi.
Un folle envie de déguster le sexe de mon petit copain.
Je défit son pentalon et attra pas son sexe.
Petit escargot pour le moment mais je pensait arranger ça très vite.
e passait ma lang sur le gand qui pendait remontait la verge de ma langue.
Son sexe se redraissait peu à peu, j'avalais le gland et tournoyait autour de ma langue.
Je me retirai pour admirer l'objet qui commençait à se dresser fiérment.remonta lentement.
Je léchais ses bourses et remontai lente'ment.
Puis la bouche en rond je gobais le gand et m'enfoncait dans sa verge tout en tournant.
J'aspirai son membre en le pourlechant tout en carressant ses boules.
Avancant, reculant, au plus profondpuis resortant jusqu'au gland.
Mes doigts effleufraient sa verge, le gland posé sur ma langue gourmande.
Je léchais du bout de langue son gland turgescent, tournoyant sur l'orifice du canal.
Ma main entourant la verge humide la maissaitla langue et la bouche toujours occupés à cajoler le gland.
Et le sperme commença à jailiir, il hurlait de plaisir.
Un copieux flow saccadé éruptait de son membre, scandé de gigantesques beuglements.
Ma bouche avait du mal a contenir tout ce flot, le sperme dégoulinait sur son membre, je le ravallais.
je continuais à lécher le sperme sur son membre, concencieusement je netoyais sa verge avalant jusqu'à la dernière goutte.
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A la maison (suite)
Le 25/03/2025
Préte pour l'assaut final. |
Il me roula une pelle durant un long moment, nos langues s'entrelaçaient.
Il me caressait un peu partout glissant ses doigts dans tous les trous.
Puis il remonta ma jupe et plongea sa tête entre mes jambes.
Sa langue remontait la fente humide jusqu'au clitoris où il s'attarda et tournoya consciencieusement.
Il l'aspirait et léchait minutieusement.
Sa bouche et ses lèvres engloutissaient mon sexe, ses doigt fouillaient dans ma rousse et frisée toison.
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Pour une fois une libraire qui n'est pas sinistre , qui n'est pas raide comme une reliure de dictionnaire ... je me pince mais non , je ne rêve pas .... hhhhuuummm et cet univers glamour de ma jeunesse qui revient au galop <3<3<3 je vais l'appeler Axelle et mater ses jambes nylonnées qui me font rêver ... de peur qu'elle ne disparaisse ... bouteille à la mer ...