Blog bas coutures et hauts talons
Le 26/07/2024
Bas coutures et hauts talons ... |
Promenade autour de jambes gainées de Nylon et campées dans de hauts escarpins.
Il y a ma tendre et chère aux sublimes jambes en bas coutures.
Et d'autres toutes aussi charmantes.
Note : les photos viennent toutes de mon album perso.
Elles datent des années 80, époque bénite où femmes campées dans des escarpins aux talons vertigineux aux jambes gainées de Nylon laissaient nos yeux suivre leurs coutures jusqu'à l'infini.
Le collège
Le 11/07/2025
Collégiennes |
Au collège ma meilleure copine s'appelait Catherine.
C'est elle qui m'a fait découvrir l'amour très tôt.
Souvent vêtue d'une tunique chamarrée et chaussée de longues bottes qui lui montaient jusqu'aux genoux, si courte qu'on voyait la démarcation de ses collants, elle avait un franc succès auprès des garçons.
Tous les garçons la regardaient et cherchaient désespérément à la séduire.
La tunique qui lui faisait office de minirobe s'arrêtait au raz des fesses.Peut-être était-ce sa tenue qui contribuait à son charme.
En tous cas, elle me fascinait et les garçons pour moi, ce n'était pas encore ça.
Et c'est elle qui m'a initié à l'amour très tôt.
Nous nous aimions énormément et passaient notre temps à nous embrasser, nous caresser.
Au départ nous nous embrassions, entrelaçant nos langues dans nos bouches, mais nous allions vite aller un peu plus loin : attouchement puis langue coquine sur l'entrejambe.
Je glissais ma langue baveuse entre ses lèvres et massait précautionneusement son clitoris, elle me rendait la pareille.
Je compris vite où lécher, où aspirer, utiliser la langue ou les doigts.
Et nous pratiquions de torrides 69 dans les toilettes durant les récrés.
Les garçons devaient nous entendre et souriaient à notre sortie.
J'appris très vite à lui fournir de splendides orgasmes léchant son clitoris.
Elle m'a d'abord prodigué l'art de la fellation sous tous ses angles.
Puis lors de mes seize ans elle à demandé à son petit copain d'entrer dans le vif du sujet, il me pénétra très doucement pour ma première expérience.
Au départ je lui servais de guetteuse à la récré.Dans le petit jardin caché au fond de la cour, j'empêchais les garçons qui se précipitaient d'entrer.
Ils y passaient chacun leur tour, Catherine trouvait que les ces gamins étaient trop rapides. Aussi, elle en voulait plusieurs à la suite, deux voire trois à chaque fois.
Chaque gars la pilonnait ardemment, giclait une salve de sperme en elle et s'en allait. Le suivant faisait de même.
Un jour elle me dis:
- Il serait temps que tu apprennes de nouvelles chose.
Et au troisième gars elle m'appela.
- C'est bon, j'ai eu ma dose, le dernier est sur sa fin, on va en en profiter pour t'étuquer. Viens voir, regarde ça. Elle tenait dans sa main la verge gonflée d'envie du copain.
- Il est à bout l'envie, le désir le ronge, c'est beau cet engin affamé, prends le en main.
- j'attrapais la bête.
- Vas y caresse doucement de bas en haut.
- T'as vu comment, il gémit, j'ai l'impression qu'il apprécie tes attentions, il semble que tu es très douée.
- Pose tes lèvres sur le bout du gland et donne lui un baiser sur l'affriandant fruit et de la pointe de la langue glisse autour de la couronne et laisse couler ta salive.
- Tu tournes, tournes et lèches avec ferveur et avidité.
- Maintenant tu enfourne le membre dans la bouche jusqu'à la gorge, ta bouche enserre le sexe et l'épouse entièrement, aspire si tu veux.
- Ta langue continue de tourner dans l'espace restant, tu montes et descends et tu peux aussi d'une ou des deux mains serrer son membre en tournant, on appelle ça le double twist.
- Sort sa queue de ta bouche maintenant et descend le long de la hampe en serrant du bout des lèvres le canal le léchant de ta langue pointue.
- Tu peux maintenant lécher puis avaler ses testicules et caresser doucement sa prostate caressant le tour de l'anus de tes doigts, tu peux aussi y mettre la langue si tu veux.
Toute est permit et la variété est bienvenue.
- Retour au gland, aspire le maintenant et effleure-le de tes lèvres baveuses, on entre on sort tout est délice, tu sens comme il aime, il rugit de plaisir.
Tu sens ?, Son sexe frémit, il respire plus fort, prend-le en bouche, et voilà ta récompense : un chaud flot de sperme coule dans ta gorge.
C'est bon, c'est chaud, ça ruisselle dans ta bouche.
Sort un peu son membre et bouche ouverte recueille le nectar sur ta langue, sur tes lèvres.
Ce n'est pas grave si un jet s'échappe et finit sur ta joue c'est même très bien, voir son sperme maculé ton visage lui procure un énorme plaisir ça en ajoute à son plaisir, l'orgasme a été au nirvana.
Tu peux léchouiller la bête repue et savourer son plaisir, ton plaisir, tu as été parfaite.
- Il y encore d'autre endroit à exploiter d'autre chose à savourer, je vais te monter.
- Oui, prends-la dans tes bras et caresse-lui les seins, embrasse-les aussi.
- Et toi viens là, un autre gars approcha.
Elle dégrafa son pantalon et en sorti son pénis.
- Il n'a pas l'air en grande forme ! c'est pas grave , je vais arranger ça.
Elle le pris du bout des doigts et le dressa vers le haut elle remonta la hampe de ses lèvres en léchant goulûment, sa main massait ses testicules.
Son sexe pendant flasquement elle posa ses lèvres sur le gland, lécha doucement et remonta jusqu'au ventre elle avalait le gland doucement.
Le sexe se dressa elle avala un peu plus le membre jusqu'a la garde puis ressortit, elle admira la bête qui maintenant était dressée comme un soldat.
Elle s'enfonça la bouche grande ouverte la langue tournoyant autour de la bête.
Elle réattaqua par le bas remontant plusieurs fois la hampe la langue léchant le canal.
Puis elle engloba le gland tournoyant puis agita la langue sur le tour de la couronne fit le tour en picotant de sa langue en pointe.
Pendant ce temps l'autre me massait les seins titillant mes tétons du bout des doigts, ses lèvres en faisaient le pourtour et sa langue les léchant.
Finalement dans un grand rugissement un gigantesque jet jaillit et retomba sur sa langue deux autres inonda ses joues son visage.
Elle repris l'engin en bouche le gars continuait à jouir et de copieux jets giclaient dans sa gorge.
De sa bouche, un flot de sperme inonda le membre, coulant lentement tout du long de la verge.
Elle nettoya minutieusement la bête, léchant et avalant tout le sperme répandu, puis congédia le gars.
Alors tu as vu, t'as piqué de nouvelles idées, ça t'a excité aussi.
Elle plongea sa tête entre mes jambes et sortit sa langue pour la glisser le long des lèvres de ma vulve.
Elle aspira mon clitoris tout en le léchant le plaisir qui m'envahissait était divin.
Le gars continuait son massage et m'embrassait dans le cou, je sentait son gros sexe bien raide sous son jean se frotter le long de ma raie des fesses.
Mon sexe me brûlait, ses doigts caressaient l'entrée de mon calice, titillaient mon capuchon du plaisir.
Nous étions parties dans les magasins en ville, Catherine en profita pour me faire un petit cour.
Sur le plaisir à distance et le plaisir contact.
Nous étions sur les strapontins dans le métro, un mec me matait avec insistance, je ramenais ma veste sur mes cuisses.
- Hé, qu'est-ce que tu fais! S'écria Catherine.
Pourquoi te caches-tu, ce pauvre gars t'admire et tu vas le priver de cette vision de rêve ?
- Peut-être qu'il est seul et que tu es sa seule source de plaisir.
- Il fait honneur à tes jambes de rêve et tu l'écartes!
- Croise plutôt les jambes et montre haut tes cuisses.
Regarde quand tu les croises haut, il se régale, il en a gros entre les jambes!
Continue et tu vas avoir droit à un orgasme à distance, tu as vu sa respiration, ses narines sont toutes gonflées.
Au retour de notre shopping dans les grands magasins, il y avait plus de monde, les wagons étaient bondés.
Nous entrions tant bien que mal, Cathenire me souffla à l'oreille, regarde le beau gosse derrière toi, je crois qu'il t'a repéré.
Je sentis sa main me parcourir les fesses.
J'étais choquée.
Laisse-le faire, c'est un amateur de belles fesses, il t'apprécie.
Il devint plus empressant.
Catherine me glissa:
Catherine me glissa :
- Tu dois sentir quelque chose glisser le long de ta raie de tes fesses, ne t'inquiète pas.
- Tu sens son souffle chaud dans ton cou, je crois qu'il aime...
Il se frottait de plus en plus fort et sa respiration augmentait.
J'entendis un léger gémissement et il relâcha sa pression.
Puis à la station suivante il se sauva.
- Tu as senti ? C'est jouissif, non ?
Dommage, mais si tu as de la chance, quelquefois le gars sort son bazar et son sperme se répand sur ta jupe, c'est encore plus jouissif.
Allez, rentrons maintenant...
Nous marchions les bras dessus, dessous, sur nos épaules et nous embrassions passionnément à chaque pas.
Deux gars approchèrent, la vingtaine et beaux gosses de surcroît.
Hé les gamines, on est amoureuses ?
- Ho, laissez-nous tranquille! Rétorquais-je.
- Les filles, ça vous dit un petit whisky.
- Mes parents en ont une bonne bouteille, vous voulez goûter ?
- Oh c'est bon j'ai dit.
Mais Catherine, qui était toujours prête pour un petit coup et qui ne refusait jamais un bon coup, répondit :
- Hum pourquoi pas , vous habitez loin?
- A deux pas.
- Hé bien, allons-y.
Nous entrions dans l'appartement et s'assirent sur le canapé.
Les garçons s'avancèrent devant nous, baissèrent leurs pantalons et saisirent leurs attribut les secouant pour les faire grossir.
Lorsque leurs queues furent bien raides, ils s'approchèrent et nous pénétrèrent sèchement sans autre forme de procès.
Ils nous pilonnaient violemment en beuglant comme des bêtes.
Et rapidement, ils nous arrosèrent copieusement de leur semence.
Alors, heureuses les petites ?
Catherine, qui avait son franc parler, leur lança :
- C'est tout, vous vous arrêtez déjà ?
Oh là, gamines, ça a encore le lait qui pisse du nez et ça veut nous donner des leçons !
- Connards, allez, viens, on se tire !
Nous rentrions chez nous, nous étions allés chez le marchand de chaussures.
Là, avec mes économies, je m'achetais les cuissardes dont j'avais rêvé, elles étaient en peau retournée écrue et montaient jusqu'au genou.
Le matin je partais de chez moi en tunique et pantalon et petite chaussures.
En bas, je descendais au sous-sol et dans la cave où j'y avais caché mes nouvelles cuissardes. J'ôtais mon pantalon et enfilais mes nouvelles bottes.
Ainsi chaussée j'avais beaucoup plus d'assurance et de charme aussi.
Maintenant les garçons me suivaient du regard quand je passais dans les couloirs du collége et assise jambe croisées tous me dévoraient des yeux.
Je ne tardis pas en lever un, j'étais assise sur un banc et il s'assit à côté de moi, il tendis la main vers ma joue et posa ses lévres sur les miennes.
La bouche entrouverte je sentis sa langue pénétrer dans ma bouche, délicieux.
J'agitais la langue, nos langue s'entremellaient.
Nous passions toutes nos journées assis sur ce banc bouches collées l'un à lautre, langues qui s'entrecroisent.
Les collégiens qui passaient nous observaient, tout comme les professeurs, si bien que nous nous installions sur le banc dans le petit jardin.
Évidemment, dans le petit jardin, il y avait Catherine et ses copains, mais nous n'y prêtions pas attention.
Nous nous caressions mutuellement, tout en nous embrassant passionnément.
Mais le gars trop timide n'osais pas avancer sa main profodemment sous ma jupe, je fis donc le premier pas.
Je frottais hardiment ma main dans son entrejambe puis délicatement fis glisser le zip, ma main plongea dans l'antre caressant le monstrueux attribut de mon petit copain a travers le coton.
Je glissait ma main dans son slip , c'était chaud, sa peau douce.
Je sortis la bête, il souriait, délicatement de la main j'en fis le tour puis posa mes lèvres sur le gland, apposant un petit baiser.
Ma langue baveuse lécha le pourtour du gland jusqu'à la couronne.
J'engloutis la bète avec passion elle epousait totalement les surfaces du gouffre de ma bouche, je l'aspirais.
Elle était chaude, grosse délicieuse, je la faisait rouler dans ma bouche, je m'enfonçait plus profond jusqu'aà la gorge la bouche ouverte, la langue serrant son pourtour.
C'était fantasique j'adorais, mais qui aimais-je le plus ? ce memembre turgescent ou le petit copain si bien nanti ?
Je sentais qu'il adorait mes attentions son sexe vibrait je le sentais de plus en plus gros, ma bouche était pleine de sa chair.
J'entrais, je sortait tout en aspirant furieusement puis pris le membre dans mes mes mains eteffectua un double twist.
La bouche à fleur de gland, ma langue léchant le pourtour, je gobait le gland et lui donnais des baisers, je frottais le frein du bout des lèvres et de la langue.
J'embrassais le frenulum et le léchais à grand coup de lange puis avalait le bout du sexe.
Un jet finit par eructer du sommet du piton de feu, je échais pour récupérer la semence de langue.
Il gémissait de satisfaction, sa réspiration était forte, haché.
- Oh c'était bon, je t'aime .
C'était un autre jour, nous nous embrassions comme toujours sur le banc, il avait sa main sur ma cuisse, je lui susurrai à l'oreille de la glisser sous ma jupe.
- Tu pourrais explorer un peu plus haut, ne sois pas si timide.
- Vas-y, grimpe, glisse ton doigt dans la fente, remonte jusqu'en haut.
- J'aime bien tes caresses, c'est chaud et humide, c'est bon.
- Masse mon petit bouton et glisse un doigt le long de la fente.
- Enfonce tes doigts dans mon corps et explore les parois de velours de mon calice.
- Tes caresses me comblent, je commence à sentir monter le plaisir dans mon corps, je t'aime, c'est bon, ne t'arrête pas.
Je respirais fort, saccadé, oui c'est ça, masse avec ton pouce.
- Est-ce que tu voudrais continuer avec la langue ?, Tu as déjà fait ?
- Non mais j'ai trop envie, ton plaisir me comble, je taime, je t'aime.
Il s'agenouilla et enfonça sa tête sous ma jupe, je la retroussais pour le voir s'afférer sur mon pubis.
Sa langue remonta entre les lèvres de ma vulve et ses lèvres massaient mon capuchon.
- Tu peux aussi remettre tes doigts, c'est tellement bon quand tu lisses le velours de mes lèvres.
Je poussais de petits cris, ça l'excitait, j'imaginai son pantalon gonflé à bloc par son sexe turgescent bien raide.
J'avais envie qu'il me prenne, qu'il pénètre profondément dans mon corps.
C'était divin, il aspirait ma vulve et la fourrageaient de ses doigts, mon clitoris allait exploser.
Je n'en pouvais plus, j'allais, je criais, le plaisir était à son comble, oh jouissance, orgasme total.
J'étais traversée de spasmes, je reprenais mon souffle peu à peu, qu'est-ce que c'était bon.
Il se releva, j'ouvris son pantalon et saisis l'objet tant convoité, il était bien comme je l'imaginais.
Une main de chaque côté, je caressais d'avant en arrière, qu'il était beau !
Je posais mes lèvres sur le gland et l'entourant, ma langue le léchait puis le posais sur ma vulve ruisselante.
Je me massais sur son gland, il glissait entre mes lèvres, arrivé au frenelum, j'appuyais sur le gland.
Il avançait, reculait à l'entrée du calice des délices, puis j'attrapais son sexe et le fit pénétrer dans mon antre.
Je poussai un cri,il bougeait doucement avancait reculait peu à peu, j'ecartais le cuisse pour qu'il pénétre mieux.
Il sortait et réentrait de plus belle j'ecartait les lèvres de mes doigts pour qu'il me pénétre aisément.
Il avait compris et massait mon clitoris du bout du gland, puis rentrait profondément, toujours délicatement.
C'était bon, divin, puis enfoncé profondément, il s'arrêta, une espèce de bourdonnement m'envahit.
Nous étions tous deux partis au septième ciel, au nirvana.
- Tu sens, c'est bon, divin.
- Oh oui, je t'aime.
Nous nous embrassâmes, nos langues glissaient l'une contre l'autres, se battaient dans un océan de salive, elle coulait de nos lèvres.
Et puis un torrent de semence m'inonda.
Il beugla, je gémis si fort que c'était plutôt un hurlement.
Il gicla abondamment, son sperme inondait le banc, il sortit son sexe et rejaillit sur ma toison rousse.
Nous étions dans un nuage, baignant dans la béatitude.
Enlacés, nous ne bougions plus serrés l'un contre l'autre.
C'était mes seize ans , j'étais chez Catherine
Nous fesions une « sieste crapuleuse », allongées sur le lit tête-bêche nos langues s'affairaient dans nos calices.
Catherine était experte et je sentais déjà l'orgasme venir.
On sonna, je sursautai.
- N'aie crainte, c'est sûrement une surprise pour ton anniversaire, attends là.
Je pensais qu'elle ramenait un paquet mais ce fut son petit copain qui entra dans la chambre.
- Bonjour, bon anniversaire, il se pencha et m'embrassa sur la bouche en sortant sa langue.
Puis il se déshabilla, pris sa verge dans la main :
- Voici le cadeau ! il n'est pas très fier pour le moment main ça va venir.
Catherine arriva.
Mon amour, tu as maintenant seize ans donc il est temps de t'initier à l'amour. J'ai demandé à mon ami de s'en charger, tu es contente.
- Oh oui, bien sûr.
Il se tenait debout devant le lit moi allongé e et Catherine à genoux au dessus de mon visage, elle me tenait par les genoux écartant mes jambes.
Sur la vulve offerte il posa son gland en haut sur le capuchon clitoridien.
Il bougeait à peine mais c'était délicieux, je gémissait le plaisir était entier.
tournait, avançait, reculait le bonheur était total j'étais aux anges.
Puis il pénétra doucement en moi, sublime, divin je gémis plus fort.
Il recommença, pénétra de nouveau et sortit pour recommencer les caresses du bout gland.
Puis il s'enfonça de nouveau plus profondément cette fois-ci, jusqu'au fond, je suppose qu'il avait perforé l'hymen mais je ne n'ai rien senti.
Une léger filet de sang s'échappa, maculant le drap.
Il s'échappait, frottait son gland sur ma vulve puis réentrait.
Chaque fois le plaisir m'emportait c'était de plus en plus fort de plus en plus intense.
Quelque fois il dressait son sexe et Catherine happait, elle s'enfonçait jusqu'à la gorge.
Il en sortait couvert de salive.
Puis il me retourna, continua ses caresses du bout du gland puis s'enfonça en moi.
Vas et viens délicats qui me transportaient Le plaisir s'intensifiaient, il accélérait un peu, l'orgasme montait.
Son sexe gonflé éructa en moi je sentis plusieurs jets chaud dans mon corps, orgasme tantrique, jouissance absolue.
Le flot de nectar continuaient à jaillir, je tombais dans un coma orgasmique.
C'est elle qui m'a fait découvrir l'amour très tôt.
Souvent vêtue d'une tunique chamarrée et chaussée de longues bottes qui lui montaient jusqu'aux genoux, si courte qu'on voyait la démarcation de ses collants, elle avait un franc succès auprès des garçons.
Tous les garçons la regardaient et cherchaient désespérément à la séduire.
La tunique qui lui faisait office de minirobe s'arrêtait au raz des fesses.Peut-être était-ce sa tenue qui contribuait à son charme.
En tous cas, elle me fascinait et les garçons pour moi, ce n'était pas encore ça.
Et c'est elle qui m'a initié à l'amour très tôt.
Nous nous aimions énormément et passaient notre temps à nous embrasser, nous caresser.
Au départ nous nous embrassions, entrelaçant nos langues dans nos bouches, mais nous allions vite aller un peu plus loin : attouchement puis langue coquine sur l'entrejambe.
Je glissais ma langue baveuse entre ses lèvres et massait précautionneusement son clitoris, elle me rendait la pareille.
Je compris vite où lécher, où aspirer, utiliser la langue ou les doigts.
Et nous pratiquions de torrides 69 dans les toilettes durant les récrés.
Les garçons devaient nous entendre et souriaient à notre sortie.
J'appris très vite à lui fournir de splendides orgasmes léchant son clitoris.
Elle m'a d'abord prodigué l'art de la fellation sous tous ses angles.
Puis lors de mes seize ans elle à demandé à son petit copain d'entrer dans le vif du sujet, il me pénétra très doucement pour ma première expérience.
Au départ je lui servais de guetteuse à la récré.Dans le petit jardin caché au fond de la cour, j'empêchais les garçons qui se précipitaient d'entrer.
Ils y passaient chacun leur tour, Catherine trouvait que les ces gamins étaient trop rapides. Aussi, elle en voulait plusieurs à la suite, deux voire trois à chaque fois.
Chaque gars la pilonnait ardemment, giclait une salve de sperme en elle et s'en allait. Le suivant faisait de même.
Un jour elle me dis:
- Il serait temps que tu apprennes de nouvelles chose.
Et au troisième gars elle m'appela.
- C'est bon, j'ai eu ma dose, le dernier est sur sa fin, on va en en profiter pour t'étuquer. Viens voir, regarde ça. Elle tenait dans sa main la verge gonflée d'envie du copain.
- Il est à bout l'envie, le désir le ronge, c'est beau cet engin affamé, prends le en main.
- j'attrapais la bête.
- Vas y caresse doucement de bas en haut.
- T'as vu comment, il gémit, j'ai l'impression qu'il apprécie tes attentions, il semble que tu es très douée.
- Pose tes lèvres sur le bout du gland et donne lui un baiser sur l'affriandant fruit et de la pointe de la langue glisse autour de la couronne et laisse couler ta salive.
- Tu tournes, tournes et lèches avec ferveur et avidité.
- Maintenant tu enfourne le membre dans la bouche jusqu'à la gorge, ta bouche enserre le sexe et l'épouse entièrement, aspire si tu veux.
- Ta langue continue de tourner dans l'espace restant, tu montes et descends et tu peux aussi d'une ou des deux mains serrer son membre en tournant, on appelle ça le double twist.
- Sort sa queue de ta bouche maintenant et descend le long de la hampe en serrant du bout des lèvres le canal le léchant de ta langue pointue.
- Tu peux maintenant lécher puis avaler ses testicules et caresser doucement sa prostate caressant le tour de l'anus de tes doigts, tu peux aussi y mettre la langue si tu veux.
Toute est permit et la variété est bienvenue.
- Retour au gland, aspire le maintenant et effleure-le de tes lèvres baveuses, on entre on sort tout est délice, tu sens comme il aime, il rugit de plaisir.
Tu sens ?, Son sexe frémit, il respire plus fort, prend-le en bouche, et voilà ta récompense : un chaud flot de sperme coule dans ta gorge.
C'est bon, c'est chaud, ça ruisselle dans ta bouche.
Sort un peu son membre et bouche ouverte recueille le nectar sur ta langue, sur tes lèvres.
Ce n'est pas grave si un jet s'échappe et finit sur ta joue c'est même très bien, voir son sperme maculé ton visage lui procure un énorme plaisir ça en ajoute à son plaisir, l'orgasme a été au nirvana.
Tu peux léchouiller la bête repue et savourer son plaisir, ton plaisir, tu as été parfaite.
- Il y encore d'autre endroit à exploiter d'autre chose à savourer, je vais te monter.
- Oui, prends-la dans tes bras et caresse-lui les seins, embrasse-les aussi.
- Et toi viens là, un autre gars approcha.
Elle dégrafa son pantalon et en sorti son pénis.
- Il n'a pas l'air en grande forme ! c'est pas grave , je vais arranger ça.
Elle le pris du bout des doigts et le dressa vers le haut elle remonta la hampe de ses lèvres en léchant goulûment, sa main massait ses testicules.
Son sexe pendant flasquement elle posa ses lèvres sur le gland, lécha doucement et remonta jusqu'au ventre elle avalait le gland doucement.
Le sexe se dressa elle avala un peu plus le membre jusqu'a la garde puis ressortit, elle admira la bête qui maintenant était dressée comme un soldat.
Elle s'enfonça la bouche grande ouverte la langue tournoyant autour de la bête.
Elle réattaqua par le bas remontant plusieurs fois la hampe la langue léchant le canal.
Puis elle engloba le gland tournoyant puis agita la langue sur le tour de la couronne fit le tour en picotant de sa langue en pointe.
Pendant ce temps l'autre me massait les seins titillant mes tétons du bout des doigts, ses lèvres en faisaient le pourtour et sa langue les léchant.
Finalement dans un grand rugissement un gigantesque jet jaillit et retomba sur sa langue deux autres inonda ses joues son visage.
Elle repris l'engin en bouche le gars continuait à jouir et de copieux jets giclaient dans sa gorge.
De sa bouche, un flot de sperme inonda le membre, coulant lentement tout du long de la verge.
Elle nettoya minutieusement la bête, léchant et avalant tout le sperme répandu, puis congédia le gars.
Alors tu as vu, t'as piqué de nouvelles idées, ça t'a excité aussi.
Elle plongea sa tête entre mes jambes et sortit sa langue pour la glisser le long des lèvres de ma vulve.
Elle aspira mon clitoris tout en le léchant le plaisir qui m'envahissait était divin.
Le gars continuait son massage et m'embrassait dans le cou, je sentait son gros sexe bien raide sous son jean se frotter le long de ma raie des fesses.
Mon sexe me brûlait, ses doigts caressaient l'entrée de mon calice, titillaient mon capuchon du plaisir.
Nous étions parties dans les magasins en ville, Catherine en profita pour me faire un petit cour.
Sur le plaisir à distance et le plaisir contact.
Nous étions sur les strapontins dans le métro, un mec me matait avec insistance, je ramenais ma veste sur mes cuisses.
- Hé, qu'est-ce que tu fais! S'écria Catherine.
Pourquoi te caches-tu, ce pauvre gars t'admire et tu vas le priver de cette vision de rêve ?
- Peut-être qu'il est seul et que tu es sa seule source de plaisir.
- Il fait honneur à tes jambes de rêve et tu l'écartes!
- Croise plutôt les jambes et montre haut tes cuisses.
Regarde quand tu les croises haut, il se régale, il en a gros entre les jambes!
Continue et tu vas avoir droit à un orgasme à distance, tu as vu sa respiration, ses narines sont toutes gonflées.
Au retour de notre shopping dans les grands magasins, il y avait plus de monde, les wagons étaient bondés.
Nous entrions tant bien que mal, Cathenire me souffla à l'oreille, regarde le beau gosse derrière toi, je crois qu'il t'a repéré.
Je sentis sa main me parcourir les fesses.
J'étais choquée.
Laisse-le faire, c'est un amateur de belles fesses, il t'apprécie.
Il devint plus empressant.
Catherine me glissa:
Catherine me glissa :
- Tu dois sentir quelque chose glisser le long de ta raie de tes fesses, ne t'inquiète pas.
- Tu sens son souffle chaud dans ton cou, je crois qu'il aime...
Il se frottait de plus en plus fort et sa respiration augmentait.
J'entendis un léger gémissement et il relâcha sa pression.
Puis à la station suivante il se sauva.
- Tu as senti ? C'est jouissif, non ?
Dommage, mais si tu as de la chance, quelquefois le gars sort son bazar et son sperme se répand sur ta jupe, c'est encore plus jouissif.
Allez, rentrons maintenant...
Nous marchions les bras dessus, dessous, sur nos épaules et nous embrassions passionnément à chaque pas.
Deux gars approchèrent, la vingtaine et beaux gosses de surcroît.
Hé les gamines, on est amoureuses ?
- Ho, laissez-nous tranquille! Rétorquais-je.
- Les filles, ça vous dit un petit whisky.
- Mes parents en ont une bonne bouteille, vous voulez goûter ?
- Oh c'est bon j'ai dit.
Mais Catherine, qui était toujours prête pour un petit coup et qui ne refusait jamais un bon coup, répondit :
- Hum pourquoi pas , vous habitez loin?
- A deux pas.
- Hé bien, allons-y.
Nous entrions dans l'appartement et s'assirent sur le canapé.
Les garçons s'avancèrent devant nous, baissèrent leurs pantalons et saisirent leurs attribut les secouant pour les faire grossir.
Lorsque leurs queues furent bien raides, ils s'approchèrent et nous pénétrèrent sèchement sans autre forme de procès.
Ils nous pilonnaient violemment en beuglant comme des bêtes.
Et rapidement, ils nous arrosèrent copieusement de leur semence.
Alors, heureuses les petites ?
Catherine, qui avait son franc parler, leur lança :
- C'est tout, vous vous arrêtez déjà ?
Oh là, gamines, ça a encore le lait qui pisse du nez et ça veut nous donner des leçons !
- Connards, allez, viens, on se tire !
Nous rentrions chez nous, nous étions allés chez le marchand de chaussures.
Là, avec mes économies, je m'achetais les cuissardes dont j'avais rêvé, elles étaient en peau retournée écrue et montaient jusqu'au genou.
Le matin je partais de chez moi en tunique et pantalon et petite chaussures.
En bas, je descendais au sous-sol et dans la cave où j'y avais caché mes nouvelles cuissardes. J'ôtais mon pantalon et enfilais mes nouvelles bottes.
Ainsi chaussée j'avais beaucoup plus d'assurance et de charme aussi.
Maintenant les garçons me suivaient du regard quand je passais dans les couloirs du collége et assise jambe croisées tous me dévoraient des yeux.
Je ne tardis pas en lever un, j'étais assise sur un banc et il s'assit à côté de moi, il tendis la main vers ma joue et posa ses lévres sur les miennes.
La bouche entrouverte je sentis sa langue pénétrer dans ma bouche, délicieux.
J'agitais la langue, nos langue s'entremellaient.
Nous passions toutes nos journées assis sur ce banc bouches collées l'un à lautre, langues qui s'entrecroisent.
Les collégiens qui passaient nous observaient, tout comme les professeurs, si bien que nous nous installions sur le banc dans le petit jardin.
Évidemment, dans le petit jardin, il y avait Catherine et ses copains, mais nous n'y prêtions pas attention.
Nous nous caressions mutuellement, tout en nous embrassant passionnément.
Mais le gars trop timide n'osais pas avancer sa main profodemment sous ma jupe, je fis donc le premier pas.
Je frottais hardiment ma main dans son entrejambe puis délicatement fis glisser le zip, ma main plongea dans l'antre caressant le monstrueux attribut de mon petit copain a travers le coton.
Je glissait ma main dans son slip , c'était chaud, sa peau douce.
Je sortis la bête, il souriait, délicatement de la main j'en fis le tour puis posa mes lèvres sur le gland, apposant un petit baiser.
Ma langue baveuse lécha le pourtour du gland jusqu'à la couronne.
J'engloutis la bète avec passion elle epousait totalement les surfaces du gouffre de ma bouche, je l'aspirais.
Elle était chaude, grosse délicieuse, je la faisait rouler dans ma bouche, je m'enfonçait plus profond jusqu'aà la gorge la bouche ouverte, la langue serrant son pourtour.
C'était fantasique j'adorais, mais qui aimais-je le plus ? ce memembre turgescent ou le petit copain si bien nanti ?
Je sentais qu'il adorait mes attentions son sexe vibrait je le sentais de plus en plus gros, ma bouche était pleine de sa chair.
J'entrais, je sortait tout en aspirant furieusement puis pris le membre dans mes mes mains eteffectua un double twist.
La bouche à fleur de gland, ma langue léchant le pourtour, je gobait le gland et lui donnais des baisers, je frottais le frein du bout des lèvres et de la langue.
J'embrassais le frenulum et le léchais à grand coup de lange puis avalait le bout du sexe.
Un jet finit par eructer du sommet du piton de feu, je échais pour récupérer la semence de langue.
Il gémissait de satisfaction, sa réspiration était forte, haché.
- Oh c'était bon, je t'aime .
C'était un autre jour, nous nous embrassions comme toujours sur le banc, il avait sa main sur ma cuisse, je lui susurrai à l'oreille de la glisser sous ma jupe.
- Tu pourrais explorer un peu plus haut, ne sois pas si timide.
- Vas-y, grimpe, glisse ton doigt dans la fente, remonte jusqu'en haut.
- J'aime bien tes caresses, c'est chaud et humide, c'est bon.
- Masse mon petit bouton et glisse un doigt le long de la fente.
- Enfonce tes doigts dans mon corps et explore les parois de velours de mon calice.
- Tes caresses me comblent, je commence à sentir monter le plaisir dans mon corps, je t'aime, c'est bon, ne t'arrête pas.
Je respirais fort, saccadé, oui c'est ça, masse avec ton pouce.
- Est-ce que tu voudrais continuer avec la langue ?, Tu as déjà fait ?
- Non mais j'ai trop envie, ton plaisir me comble, je taime, je t'aime.
Il s'agenouilla et enfonça sa tête sous ma jupe, je la retroussais pour le voir s'afférer sur mon pubis.
Sa langue remonta entre les lèvres de ma vulve et ses lèvres massaient mon capuchon.
- Tu peux aussi remettre tes doigts, c'est tellement bon quand tu lisses le velours de mes lèvres.
Je poussais de petits cris, ça l'excitait, j'imaginai son pantalon gonflé à bloc par son sexe turgescent bien raide.
J'avais envie qu'il me prenne, qu'il pénètre profondément dans mon corps.
C'était divin, il aspirait ma vulve et la fourrageaient de ses doigts, mon clitoris allait exploser.
Je n'en pouvais plus, j'allais, je criais, le plaisir était à son comble, oh jouissance, orgasme total.
J'étais traversée de spasmes, je reprenais mon souffle peu à peu, qu'est-ce que c'était bon.
Il se releva, j'ouvris son pantalon et saisis l'objet tant convoité, il était bien comme je l'imaginais.
Une main de chaque côté, je caressais d'avant en arrière, qu'il était beau !
Je posais mes lèvres sur le gland et l'entourant, ma langue le léchait puis le posais sur ma vulve ruisselante.
Je me massais sur son gland, il glissait entre mes lèvres, arrivé au frenelum, j'appuyais sur le gland.
Il avançait, reculait à l'entrée du calice des délices, puis j'attrapais son sexe et le fit pénétrer dans mon antre.
Je poussai un cri,il bougeait doucement avancait reculait peu à peu, j'ecartais le cuisse pour qu'il pénétre mieux.
Il sortait et réentrait de plus belle j'ecartait les lèvres de mes doigts pour qu'il me pénétre aisément.
Il avait compris et massait mon clitoris du bout du gland, puis rentrait profondément, toujours délicatement.
C'était bon, divin, puis enfoncé profondément, il s'arrêta, une espèce de bourdonnement m'envahit.
Nous étions tous deux partis au septième ciel, au nirvana.
- Tu sens, c'est bon, divin.
- Oh oui, je t'aime.
Nous nous embrassâmes, nos langues glissaient l'une contre l'autres, se battaient dans un océan de salive, elle coulait de nos lèvres.
Et puis un torrent de semence m'inonda.
Il beugla, je gémis si fort que c'était plutôt un hurlement.
Il gicla abondamment, son sperme inondait le banc, il sortit son sexe et rejaillit sur ma toison rousse.
Nous étions dans un nuage, baignant dans la béatitude.
Enlacés, nous ne bougions plus serrés l'un contre l'autre.
C'était mes seize ans , j'étais chez Catherine
Nous fesions une « sieste crapuleuse », allongées sur le lit tête-bêche nos langues s'affairaient dans nos calices.
Catherine était experte et je sentais déjà l'orgasme venir.
On sonna, je sursautai.
- N'aie crainte, c'est sûrement une surprise pour ton anniversaire, attends là.
Je pensais qu'elle ramenait un paquet mais ce fut son petit copain qui entra dans la chambre.
- Bonjour, bon anniversaire, il se pencha et m'embrassa sur la bouche en sortant sa langue.
Puis il se déshabilla, pris sa verge dans la main :
- Voici le cadeau ! il n'est pas très fier pour le moment main ça va venir.
Catherine arriva.
Mon amour, tu as maintenant seize ans donc il est temps de t'initier à l'amour. J'ai demandé à mon ami de s'en charger, tu es contente.
- Oh oui, bien sûr.
Il se tenait debout devant le lit moi allongé e et Catherine à genoux au dessus de mon visage, elle me tenait par les genoux écartant mes jambes.
Sur la vulve offerte il posa son gland en haut sur le capuchon clitoridien.
Il bougeait à peine mais c'était délicieux, je gémissait le plaisir était entier.
tournait, avançait, reculait le bonheur était total j'étais aux anges.
Puis il pénétra doucement en moi, sublime, divin je gémis plus fort.
Il recommença, pénétra de nouveau et sortit pour recommencer les caresses du bout gland.
Puis il s'enfonça de nouveau plus profondément cette fois-ci, jusqu'au fond, je suppose qu'il avait perforé l'hymen mais je ne n'ai rien senti.
Une léger filet de sang s'échappa, maculant le drap.
Il s'échappait, frottait son gland sur ma vulve puis réentrait.
Chaque fois le plaisir m'emportait c'était de plus en plus fort de plus en plus intense.
Quelque fois il dressait son sexe et Catherine happait, elle s'enfonçait jusqu'à la gorge.
Il en sortait couvert de salive.
Puis il me retourna, continua ses caresses du bout du gland puis s'enfonça en moi.
Vas et viens délicats qui me transportaient Le plaisir s'intensifiaient, il accélérait un peu, l'orgasme montait.
Son sexe gonflé éructa en moi je sentis plusieurs jets chaud dans mon corps, orgasme tantrique, jouissance absolue.
Le flot de nectar continuaient à jaillir, je tombais dans un coma orgasmique.
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Le collège partie II
Le 25/07/2025
Collégienne |
- Il serait temps que tu apprennes de nouvelles chose.
Et au troisième gars elle m'appela.
- C'est bon, j'ai eu ma dose, le dernier est sur sa fin, on va en en profiter pour t'étuquer. Viens voir, regarde ça. Elle tenait dans sa main la verge gonflée d'envie du copain.
- Il est à bout l'envie, le désir le ronge, c'est beau cet engin affamé, prends le en main.
- j'attrapais la bête.
- Vas y caresse doucement de bas en haut.
- T'as vu comment, il gémit, j'ai l'impression qu'il apprécie tes attentions, il semble que tu es très douée.
- Pose tes lèvres sur le bout du gland et donne lui un baiser sur l'affriandant fruit et de la pointe de la langue glisse autour de la couronne et laisse couler ta salive.
- Tu tournes, tournes et lèches avec ferveur et avidité.
- Maintenant tu enfourne le membre dans la bouche jusqu'à la gorge, ta bouche enserre le sexe et l'épouse entièrement, aspire si tu veux.
- Ta langue continue de tourner dans l'espace restant, tu montes et descends et tu peux aussi d'une ou des deux mains serrer son membre en tournant, on appelle ça le double twist.
- Sort sa queue de ta bouche maintenant et descend le long de la hampe en serrant du bout des lèvres le canal le léchant de ta langue pointue.
- Tu peux maintenant lécher puis avaler ses testicules et caresser doucement sa prostate caressant le tour de l'anus de tes doigts, tu peux aussi y mettre la langue si tu veux.
Toute est permit et la variété est bienvenue.
- Retour au gland, aspire le maintenant et effleure-le de tes lèvres baveuses, on entre on sort tout est délice, tu sens comme il aime, il rugit de plaisir.
Tu sens ?, Son sexe frémit, il respire plus fort, prend-le en bouche, et voilà ta récompense : un chaud flot de sperme coule dans ta gorge.
C'est bon, c'est chaud, ça ruisselle dans ta bouche.
Sort un peu son membre et bouche ouverte recueille le nectar sur ta langue, sur tes lèvres.
Ce n'est pas grave si un jet s'échappe et finit sur ta joue c'est même très bien, voir son sperme maculé ton visage lui procure un énorme plaisir ça en ajoute à son plaisir, l'orgasme a été au nirvana.
Tu peux léchouiller la bête repue et savourer son plaisir, ton plaisir, tu as été parfaite.
- Il y encore d'autre endroit à exploiter d'autre chose à savourer, je vais te monter.
- Oui, prends-la dans tes bras et caresse-lui les seins, embrasse-les aussi.
- Et toi viens là, un autre gars approcha.
Elle dégrafa son pantalon et en sorti son pénis.
- Il n'a pas l'air en grande forme ! c'est pas grave , je vais arranger ça.
Elle le pris du bout des doigts et le dressa vers le haut elle remonta la hampe de ses lèvres en léchant goulûment, sa main massait ses testicules.
Son sexe pendant flasquement elle posa ses lèvres sur le gland, lécha doucement et remonta jusqu'au ventre elle avalait le gland doucement.
Le sexe se dressa elle avala un peu plus le membre jusqu'a la garde puis ressortit, elle admira la bête qui maintenant était dressée comme un soldat.
Elle s'enfonça la bouche grande ouverte la langue tournoyant autour de la bête.
Elle réattaqua par le bas remontant plusieurs fois la hampe la langue léchant le canal.
Puis elle engloba le gland tournoyant puis agita la langue sur le tour de la couronne fit le tour en picotant de sa langue en pointe.
Pendant ce temps l'autre me massait les seins titillant mes tétons du bout des doigts, ses lèvres en faisaient le pourtour et sa langue les léchant.
Finalement dans un grand rugissement un gigantesque jet jaillit et retomba sur sa langue deux autres inonda ses joues son visage.
Elle repris l'engin en bouche le gars continuait à jouir et de copieux jets giclaient dans sa gorge.
De sa bouche, un flot de sperme inonda le membre, coulant lentement tout du long de la verge.
Elle nettoya minutieusement la bête, léchant et avalant tout le sperme répandu, puis congédia le gars.
Alors tu as vu, t'as piqué de nouvelles idées, ça t'a excité aussi.
Elle plongea sa tête entre mes jambes et sortit sa langue pour la glisser le long des lèvres de ma vulve.
Elle aspira mon clitoris tout en le léchant le plaisir qui m'envahissait était divin.
Le gars continuait son massage et m'embrassait dans le cou, je sentait son gros sexe bien raide sous son jean se frotter le long de ma raie des fesses.
Mon sexe me brûlait, ses doigts caressaient l'entrée de mon calice, titillaient mon capuchon du plaisir.
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Le collège partie III
Le 23/07/2025
Collégienne |
Sur le plaisir à distance et le plaisir contact.
Nous étions sur les strapontins dans le métro, un mec me matait avec insistance, je ramenais ma veste sur mes cuisses.
- Hé, qu'est-ce que tu fais! S'écria Catherine.
Pourquoi te caches-tu, ce pauvre gars t'admire et tu vas le priver de cette vision de rêve ?
- Peut-être qu'il est seul et que tu es sa seule source de plaisir.
- Il fait honneur à tes jambes de rêve et tu l'écartes!
- Croise plutôt les jambes et montre haut tes cuisses.
Regarde quand tu les croises haut, il se régale, il en a gros entre les jambes!
Continue et tu vas avoir droit à un orgasme à distance, tu as vu sa respiration, ses narines sont toutes gonflées.
Au retour de notre shopping dans les grands magasins, il y avait plus de monde, les wagons étaient bondés.
Nous entrions tant bien que mal, Cathenire me souffla à l'oreille, regarde le beau gosse derrière toi, je crois qu'il t'a repéré.
Je sentis sa main me parcourir les fesses.
J'étais choquée.
Laisse-le faire, c'est un amateur de belles fesses, il t'apprécie.
Il devint plus empressant.
Catherine me glissa:
Catherine me glissa :
- Tu dois sentir quelque chose glisser le long de ta raie de tes fesses, ne t'inquiète pas.
- Tu sens son souffle chaud dans ton cou, je crois qu'il aime...
Il se frottait de plus en plus fort et sa respiration augmentait.
J'entendis un léger gémissement et il relâcha sa pression.
Puis à la station suivante il se sauva.
- Tu as senti ? C'est jouissif, non ?
Dommage, mais si tu as de la chance, quelquefois le gars sort son bazar et son sperme se répand sur ta jupe, c'est encore plus jouissif.
Allez, rentrons maintenant...
Nous marchions les bras dessus, dessous, sur nos épaules et nous embrassions passionnément à chaque pas.
Deux gars approchèrent, la vingtaine et beaux gosses de surcroît.
Hé les gamines, on est amoureuses ?
- Ho, laissez-nous tranquille! Rétorquais-je.
- Les filles, ça vous dit un petit whisky.
- Mes parents en ont une bonne bouteille, vous voulez goûter ?
- Oh c'est bon j'ai dit.
Mais Catherine, qui était toujours prête pour un petit coup et qui ne refusait jamais un bon coup, répondit :
- Hum pourquoi pas , vous habitez loin?
- A deux pas.
- Hé bien, allons-y.
Nous entrions dans l'appartement et s'assirent sur le canapé.
Les garçons s'avancèrent devant nous, baissèrent leurs pantalons et saisirent leurs attribut les secouant pour les faire grossir.
Lorsque leurs queues furent bien raides, ils s'approchèrent et nous pénétrèrent sèchement sans autre forme de procès.
Ils nous pilonnaient violemment en beuglant comme des bêtes.
Et rapidement, ils crachèrent leur foutre, nous arrosant copieusement de leur semence.
Alors, heureuses les petites ?
Catherine, qui avait son franc parler, leur lança :
- C'est tout, vous vous arrêtez déjà ?
Oh là, gamines, ça a encore le lait qui pisse du nez et ça veut nous donner des leçons !
- Connards, allez, viens, on se tire !
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Le collège partie IV
Le 23/07/2025
Collégiènne en bottes. |
Là, avec mes économies, je m'achetais les cuissardes dont j'avais rêvé, elles étaient en peau retournée écrue et montaient jusqu'au genou.
Le matin je partais de chez moi en tunique et pantalon et petite chaussures.
En bas, je descendais au sous-sol et dans la cave où j'y avais caché mes nouvelles cuissardes. J'ôtais mon pantalon et enfilais mes nouvelles bottes.
Ainsi chaussée j'avais beaucoup plus d'assurance et de charme aussi.
Maintenant les garçons me suivaient du regard quand je passais dans les couloirs du collége et assise jambe croisées tous me dévoraient des yeux.
Je ne tardis pas en lever un, j'étais assise sur un banc et il s'assit à côté de moi, il tendis la main vers ma joue et posa ses lévres sur les miennes.
La bouche entrouverte je sentis sa langue pénétrer dans ma bouche, délicieux.
J'agitais la langue, nos langue s'entremellaient.
Nous passions toutes nos journées assis sur ce banc bouches collées l'un à lautre, langues qui s'entrecroisent.
Les collégiens qui passaient nous observaient, tout comme les professeurs, si bien que nous nous installions sur le banc dans le petit jardin.
Évidemment, dans le petit jardin, il y avait Catherine et ses copains, mais nous n'y prêtions pas attention.
Nous nous caressions mutuellement, tout en nous embrassant passionnément.
Mais le gars trop timide n'osais pas avancer sa main profodemment sous ma jupe, je fis donc le premier pas.
Je frottais ardemment ma main dans son entrejambe puis délicatement fis glisser le zip, ma main plongea dans l'antre caressant le monstrueux attribut de mon petit copain a travers le coton.
Je glissait ma main dans son slip , c'était chaud, sa peau douce.
Je sortis la bête, il souriait, délicatement de la main j'en fis le tour puis posa mes lèvres sur le gland, apposant un petit baiser.
Ma langue baveuse lécha le pourtour du gland jusqu'à la couronne.
J'engloutis la bète avec passion elle epousait totalement les surfaces du gouffre de ma bouche, je l'aspirais.
Elle était chaude, grosse délicieuse, je la faisait rouler dans ma bouche, je m'enfonçait plus profond jusqu'aà la gorge la bouche ouverte, la langue serrant son pourtour.
C'était fantasique j'adorais, mais qui aimais-je le plus ? ce memembre turgescent ou le petit copain si bien nanti ?
Je sentais qu'il adorait mes attentions son sexe vibrait je le sentais de plus en plus gros, ma bouche était pleine de sa chair.
J'entrais, je sortait tout en aspirant furieusement puis pris le membre dans mes mes mains eteffectua un double twist.
La bouche à fleur de gland, ma langue léchant le pourtour, je gobait le gland et lui donnais des baisers, je frottais le frein du bout des lèvres et de la langue.
J'embrassais le frenulum et le léchais à grand coup de lange puis avalait le bout du sexe.
Un jet finit par eructer du sommet du piton de feu, je échais pour récupérer la semence de langue.
Il gémissait de satisfaction, sa réspiration était forte, haché.
- Oh c'était bon, je t'aime .
C'était un autre jour, nous nous embrassions comme toujours sur le banc, il avait sa main sur ma cuisse, je lui susurrai à l'oreille de la glisser sous ma jupe.
- Tu pourrais explorer un peu plus haut, ne sois pas si timide.
- Vas-y, grimpe, glisse ton doigt dans la fente, remonte jusqu'en haut.
- J'aime bien tes caresses, c'est chaud et humide, c'est bon.
- Masse mon petit bouton et glisse un doigt le long de la fente.
- Enfonce tes doigts dans mon corps et explore les parois de velours de mon calice.
- Tes caresses me comblent, je commence à sentir monter le plaisir dans mon corps, je t'aime, c'est bon, ne t'arrête pas.
Je respirais fort, saccadé, oui c'est ça, masse avec ton pouce.
- Est-ce que tu voudrais continuer avec la langue ?, Tu as déjà fait ?
- Non mais j'ai trop envie, ton plaisir me comble, je taime, je t'aime.
Il s'agenouilla et enfonça sa tête sous ma jupe, je la retroussais pour le voir s'afférer sur mon pubis.
Sa langue remonta entre les lèvres de ma vulve et ses lèvres massaient mon capuchon.
- Tu peux aussi remettre tes doigts, c'est tellement bon quand tu lisses le velours de mes lèvres.
Je poussais de petits cris, ça l'excitait, j'imaginai son pantalon gonflé à bloc par son sexe turgescent bien raide.
J'avais envie qu'il me prenne, qu'il pénètre profondément dans mon corps.
C'était divin, il aspirait ma vulve et la fourrageaient de ses doigts, mon clitoris allait exploser.
Je n'en pouvais plus, j'allais, je criais, le plaisir était à son comble, oh jouissance, orgasme total.
J'étais traversée de spasmes, je reprenais mon souffle peu à peu, qu'est-ce que c'était bon.
Il se releva, j'ouvris son pantalon et saisis l'objet tant convoité, il était bien comme je l'imaginais.
Une main de chaque côté, je caressais d'avant en arrière, qu'il était beau !
Je posais mes lèvres sur le gland et l'entourant, ma langue le léchait puis le posais sur ma vulve ruisselante.
Je me massais sur son gland, il glissait entre mes lèvres, arrivé au frenelum, j'appuyais sur le gland.
Il avançait, reculait à l'entrée du calice des délices, puis j'attrapais son sexe et le fit pénétrer dans mon antre.
Je poussai un cri,il bougeait doucement avancait reculait peu à peu, j'ecartais le cuisse pour qu'il pénétre mieux.
Il sortait et réentrait de plus belle j'ecartait les lèvres de mes doigts pour qu'il me pénétre aisément.
Il avait compris et massait mon clitoris du bout du gland, puis rentrait profondément, toujours délicatement.
C'était bon, divin, puis enfoncé profondément, il s'arrêta, une espèce de bourdonnement m'envahit.
Nous étions tous deux partis au septième ciel, au nirvana.
- Tu sens, c'est bon, divin.
- Oh oui, je t'aime.
Nous nous embrassâmes, nos langues glissaient l'une contre l'autres, se battaient dans un océan de salive, elle coulait de nos lèvres.
Et puis un torrent de semence m'inonda.
Il beugla, je gémis si fort que c'était plutôt un hurlement.
Il gicla abondamment, son sperme inondait le banc, il sortit son sexe et rejaillit sur ma toison rousse.
Nous étions dans un nuage, baignant dans la béatitude.
Enlacés, nous ne bougions plus serrés l'un contre l'autre.
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elle était déjà canon ... et elle l'est tout autant aujourd'hui ... elle mérite bien mon A.O.C de prodigieuse créature<3<3<3<3<3<3
Effectivement, quelle rousse sexy et sexitante! Ces jambes sont sublimes!!!
Pour une fois une libraire qui n'est pas sinistre , qui n'est pas raide comme une reliure de dictionnaire ... je me pince mais non , je ne rêve pas .... hhhhuuummm et cet univers glamour de ma jeunesse qui revient au galop <3<3<3 je vais l'appeler Axelle et mater ses jambes nylonnées qui me font rêver ... de peur qu'elle ne disparaisse ... bouteille à la mer ...