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Bas coutures et hauts talons.
Extrait du site https://carnation.blogs.fr

Bas coutures et hauts talons. Extrait du site https://carnation.blogs.fr

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Le collège final

Le 15/08/2025

Les collégiennes 1970 short et plateformes. Pénétration anale et cunnilingus. Pénétration bien léchée. Calin à la copine et au copain.

Les collégiennes 1970 short et plateformes. Pénétration anale et cunnilingus. Pénétration bien léchée. Calin à la copine et au copain.
Les collégiennes 
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Le Lycée

Le 23/07/2025

Lycéenne en mini-jupe tartan. Avec elle j'assouvissais enfin ma soif de sexe. Le grand retour des bas et porte-jarretelles. Je m'occupais tant bien que mal de ma libido. Elle comblait mon appétit, on se léchait mutuellement les parties.

Lycéenne en mini-jupe tartan. Avec elle j'assouvissais enfin ma soif de sexe. Le grand retour des bas et porte-jarretelles. Je m'occupais tant bien que mal de ma libido. Elle comblait mon appétit, on se léchait mutuellement les parties.
Lycéenne en mini-jupe tartan. 
A cette époque les talons avaient gagnés en hauteur.
Les talons avaient gagné en hauteur, mais surtout c'était le grand retour des bas et porte-jarretelles.
Je portais toujours, à l'époque, des petites jupes plissées mais maintenant des escarpins bicolores au haut talon bottier ornés de petites brides sur le dessus du pied et bien sûr bas et porte-jarretelles.
Ma jupe flottait au gré de mes pas, dévoilant le haut de mes bas suspendus aux jarretelles.
Ce qui n'échappait pas à mes camarades, ils étaient tous derrière moi lorsque je gravissais les marches de  l'escalier.
J'avais perdu de vue Catherine et suite au changement d'établissement et au déménagement, je ne voyais plus mon petit copain.
au départ j'étaits un peu sele et je m'occupais tant bien que mal de ma libido.
Puis je fis la connaissance d'une copine d'une autre classe.
Avec elle j'assouvissais enfin ma soif de sexe, elle comblait mon appétit, on se léchait mutuellement les parties toutes deux.
Au cours de langue où nos deux classes étaient regroupées, elle glissait sa main sous ma jupe, et frottait, massait ardemment ma vulve et son capuchon.
Je mouillais copieusement et gémissais doucement, il arrivait qu'elle se glisse sous la table et pose ses lèvres entre mes cuisses.
Sa langue entrait profondément dans ma vulve et elle léchait apparemment mon clitoris.


J'avais aussi quelques copains et souvent je passais l'après-midi chez l'un d'eux.
C'était des après-midi assez sympa, les gars me faisaient la cour et me cajolaient tous ensemble.

Nous étions installées à la terrasse du café à côté du lycée sirotant un café, quand quatre gars et une fille approchèrent.
Le gars p'tit loulou perfecto et santiags.
La fille portait une super mini-jupe, de grandes bottes à plateforme et des bas résilles.
Jupe plissée écossaise rouge ras du bonbon révélant la naissance des fesses.
Elle aussi portait un blouson de cuir, un tee-shirt résille sur sa poitrine aux seins nus et un collier de chien.
L'autre gars avait un look 'Saturday night fever', chemise à grand col et pantalon patte d'éph.
le dernier était en survêt et tenis.
Le gars étaint un peu éméché, il nous interpela :
Salut les filles, toujours sages les lycéennes, petit café.
Il avait un bouteille dans la main.
- Whisky plutôt ?
- Il me tendit la bouteille que j'attrapais et au goulot je sirotais une gorgée, puis passait la bouteille à ma copine.
Elle fit de même mais toussa légèrement.
- C'est fort hein, petite, pas habituée à ces boissons !
- Dites donc, on va à une petite fête chez des copains, ça vous dit ?
Pourquoi pas, allons-y.
Et nous les suivirent, c'était juste au-dessus du café.
Nous entrions, il y avait déjà trois personnes, sur la table une bouteille de whisky et des verres.
La fille était genre geisha habillée comme un manga.
Elle avait une robe en dentelle noire assez courte et était chaussée d'escarpins à brides rouges à plateforme.
Avec la plateforme, ses talons devaient atteindre 20 centimètres !
Elle portait des bas tenus par une jarretière ornée d'un grand ruban rose.
Ils nous invitèrent à nous asseoir.
Assise, la fille s'assit à côté de moi et m'offrit un verre.
Elle m'attrapa par le cou, approcha ses lèvres et enfonça sa langue jusqu'au fond de ma gorge.
Sa langue tournait autour de la mienne et elle aspirait ma langue.
Le gars avait sorti sa queue de son pantalon, je l'attrapais et l'enserrai dans ma main et commençais à le masturber.
La fille était descendue dans mon entrejambe, sa langue baveuse glissait entre mes lèvres.
Le gars s'était relevé et me présentait son membre turgescent devant ma bouche, j'avalais.
Ma langue tournoyait autour du gland, m'arrêtant au frein où je léchais avec insistance la pointue.
La fille avait enfoui ses deux mains et caressait les parois humides de ma vulve.
Un deuxième laron arriva, la bite dressée, et me la planta en plein dans le corps.
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Le lycée partie II

Le 01/08/2025

Lycéenne en kilt. A la terasse du café. La fille était habillée comme un manga. Lycéenne. Sous le mini-kilt.

Lycéenne en kilt. A la terasse du café. La fille était habillée comme un manga. Lycéenne. Sous le mini-kilt.
Lycéenne en kilt. 
Nous étions installées à la terrasse du café à côté du lycée sirotant un café, quand quatre gars et une fille approchèrent.
Le gars p'tit loulou perfecto et santiags.
La fille portait une super mini-jupe, de grandes bottes à plateforme et des bas résilles.
Jupe plissée écossaise rouge ras du bonbon révélant la naissance des fesses.
Elle aussi portait un blouson de cuir, un tee-shirt résille sur sa poitrine aux seins nus et un collier de chien.
L'autre gars avait un look 'Saturday night fever', chemise à grand col et pantalon patte d'éph.
le dernier était en survêt et tennis.
Le gars étaint un peu éméché, il nous interpela :
Salut les filles, toujours sages les lycéennes, petit café.
Il avait un bouteille dans la main.
- Whisky plutôt ?
- Il me tendit la bouteille que j'attrapais et au goulot je sirotais une gorgée, puis passait la bouteille à ma copine.
Elle fit de même mais toussa légèrement.
- C'est fort hein, petite, pas habituée à ces boissons !
- Dites donc, on va à une petite fête chez des copains, ça vous dit ?
Pourquoi pas, allons-y.
Et nous les suivirent, c'était juste au-dessus du café.
Nous entrions, il y avait déjà trois personnes, sur la table une bouteille de whisky et des verres.
La fille était  habillée comme un manga.
Elle avait une robe en dentelle noire assez courte et était chaussée d'escarpins à brides rouges à plateforme.
Avec la plateforme, ses talons devaient atteindre 20 centimètres !
Elle portait des bas tenus par une jarretière ornée d'un grand ruban rose.
Ils nous invitèrent à nous asseoir.
Assise, la fille s'assit à côté de moi et m'offrit un verre.
Elle m'attrapa par le cou, approcha ses lèvres et enfonça sa langue jusqu'au fond de ma gorge.
Sa langue tournait autour de la mienne et elle aspirait ma langue.
Le gars avait sorti sa queue de son pantalon, je l'attrapais et l'enserrai dans ma main et commençais à le masturber.
La fille était descendue dans mon entrejambe, sa langue baveuse glissait entre mes lèvres.
Le gars s'était relevé et me présentait son membre turgescent devant ma bouche, j'avalais.
Ma langue tournoyait autour du gland, m'arrêtant au frein où je léchais avec insistance la pointue.
La fille avait enfoui ses deux mains et caressait les parois humides de ma vulve.
Un deuxième laron arriva, la bite dressée, elle tourna la tête sans retirer ses main de mon antre.
Elle absorba le membre qui venait à elle, elle tournait la langue tout autour du gland puis avala goulument.
Elle salivait copieusement en enduisant le membre de bave et l'attrapait de la main pour le diriger vers mon petit trou.
Il poussait et le membre pénétra doucement, je poussais de petits cris.
Il commença à ramoner, allant d'avant en arrière, son membre glissait à merveille dans mes entrailles.
La fille était revenue à ses affaires, me léchant de plus belle
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Le lycée partie III

Le 01/08/2025

Quelle jambes ! Grimpée sur le bar avançant à quatre pattes vers eux. Double pénétration et fellation à la salle des profs. A la bibliothèque. J'aspirai peu à peu le membre qui devenait de plus en plus raide.

Quelle jambes ! Grimpée sur le bar avançant à quatre pattes vers eux. Double pénétration et fellation à la salle des profs. A la bibliothèque. J'aspirai peu à peu le membre qui devenait de plus en plus raide.
Quelle jambes ! 
Le soir, les profs et pions se réunissaient dans la salle des profs pour prendre un dernier verre avant de rentrer.
J'avais réussi à m'introduire dans leur cercle, ainsi souvent le soir je venais dans la salle pour y passer un peu de bon temps.
Il y avait un bar au fond de la salle, j'y grimpais et avançais à quatre pattes vers eux.
Ils discutaient...
- Elles sont bien belles cette année, les lycéennes, vous ne trouvez pas ?
- Oh oui, surtout celle-là, un petit bijou, cannon la rouquine.
- Et aussi joli p'tit cul.
Le pion avait glissé sa main sous ma jupe et caressait mes fesses, jaugeant leurs rondeurs.
- Des fesses bien bombées aux courbes parfaites.
Elle a l'air affamée, la petite lionne, elle a la bouche grande ouverte.
Le pion fit glisser sa braguette de son pantalon et sortit son attribut.
- Regarde petite, voici ton biberon, tu as faim, hein.
Je baissais le bras et attrapai la verge.
- Hum, elle m'a l'air encore endormie, je vais la réveiller calmement.
Quelques savantes caresses de la main et la bête se réveilla, elle se redressait.
Je baissais la tête et approchai mes lèvres, sortis la langue et commençai à lécher.
Ma langue tournait autour du gland, léchant jusqu'à la corolle.
Puis, le bouche en rond, j'aspirai peu à peu le membre qui devenait de plus en plus raide et gonflé.
L'autre promenait son doigt le long de ma raie, s'insinuant jusqu'au haut de ma vulve.
Il massait délicatement le tour de mon anus, entrant doucement dans mon trou.
Ma tête descendait le long de son pieu et sa verge pénétrait ma gorge.
Je tournais et tournais la bouche autour du membre turgescent et de la main j'attrapais ses testicules que je massais délicatement.

 
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Le lycée final

Le 04/08/2025

Lycéenne Il ne me pénétra pas mais massa délicatement mon frénulum. Slingback Yves Saint-laurent 1976 Tes mamelons, douces collines orné de pépites. En pause au foyer des élèves.

Lycéenne Il ne me pénétra pas mais massa délicatement mon frénulum. Slingback Yves Saint-laurent 1976 Tes mamelons, douces collines orné de pépites. En pause au foyer des élèves.
Lycéenne 
J'étais  seule au foyer des lycéens, assise sur le canapé qu'on avait récupéré et installé dans notre local.
Un gars entra...
- Bonjour, jolie demoiselle, j'ai l'impression qu'on ne se connaît pas, c'est on déjà vu.
- Non, je ne crois pas.
Il s'approcha et s'assit à mes côtés.
- Je peux ?
- Je suis un peu subjugué, vous a-t-on déjà dit que vous étiez belle, sublime, magnifique ?
- Je peux te tu tutoyer ?
- Tes lèvres sont comme de la framboise, tes yeux  bleus comme l'océan, tes cheveux, crinière flamboyante de lionne, douce chevelure rousse.
- je ne disais mots, bercé par la poésie de ses propos.
- Tes mamelons douce collines orné de pépites.
Il avait glissé sa main sous ma chemise et me carraissait les seins.
- Il approcha sa tête.
- Puis-je te croquer tes lèvres de framboise, me noyer dans l'océan de tes yeux, plonger mes doigts dans ta rousse toison.
Je ne répondis toujours rien, ses lèvres effleurèrent les miennes, nos bouches s'unir, nos langues s'enlacèrent.
Puis sa main se posa sur ma cuisse et glissa sous ma jupe, il me caressait, remontant jusqu'à l'entrejambe.
Ses doigts glissèrent entre les lèvres de ma vulve et pénétrèrent dans mon humide calice.
Il massait mon capuchon lentement du pouce et ses doigts caressaient le velours des  parois humides de mes entrailles.
Son soufle était chaud.
- Tu es si belle, ma princesse.
Puis ses doigts s'estompèrent et, en lieu et place, il posa son sexe sur le mien.
Il ne me pénétra pas mais massa délicatement mon frénulum, frottant son gland sur le haut de ma vulve ruisselante.
C'était divin, je commençais à partir dans un nuage de béatitude.
- Oh, c'est bon. Soupirais-je.

 
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