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Bas coutures et hauts talons.
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Le lycée partie II

Le 01/08/2025

Lycéenne en kilt. A la terasse du café. La fille était habillée comme un manga. Lycéenne. Sous le mini-kilt.

Lycéenne en kilt. A la terasse du café. La fille était habillée comme un manga. Lycéenne. Sous le mini-kilt.
Lycéenne en kilt. 
Nous étions installées à la terrasse du café à côté du lycée sirotant un café, quand quatre gars et une fille approchèrent.
Le gars p'tit loulou perfecto et santiags.
La fille portait une super mini-jupe, de grandes bottes à plateforme et des bas résilles.
Jupe plissée écossaise rouge ras du bonbon révélant la naissance des fesses.
Elle aussi portait un blouson de cuir, un tee-shirt résille sur sa poitrine aux seins nus et un collier de chien.
L'autre gars avait un look 'Saturday night fever', chemise à grand col et pantalon patte d'éph.
le dernier était en survêt et tennis.
Le gars étaint un peu éméché, il nous interpela :
Salut les filles, toujours sages les lycéennes, petit café.
Il avait un bouteille dans la main.
- Whisky plutôt ?
- Il me tendit la bouteille que j'attrapais et au goulot je sirotais une gorgée, puis passait la bouteille à ma copine.
Elle fit de même mais toussa légèrement.
- C'est fort hein, petite, pas habituée à ces boissons !
- Dites donc, on va à une petite fête chez des copains, ça vous dit ?
Pourquoi pas, allons-y.
Et nous les suivirent, c'était juste au-dessus du café.
Nous entrions, il y avait déjà trois personnes, sur la table une bouteille de whisky et des verres.
La fille était  habillée comme un manga.
Elle avait une robe en dentelle noire assez courte et était chaussée d'escarpins à brides rouges à plateforme.
Avec la plateforme, ses talons devaient atteindre 20 centimètres !
Elle portait des bas tenus par une jarretière ornée d'un grand ruban rose.
Ils nous invitèrent à nous asseoir.
Assise, la fille s'assit à côté de moi et m'offrit un verre.
Elle m'attrapa par le cou, approcha ses lèvres et enfonça sa langue jusqu'au fond de ma gorge.
Sa langue tournait autour de la mienne et elle aspirait ma langue.
Le gars avait sorti sa queue de son pantalon, je l'attrapais et l'enserrai dans ma main et commençais à le masturber.
La fille était descendue dans mon entrejambe, sa langue baveuse glissait entre mes lèvres.
Le gars s'était relevé et me présentait son membre turgescent devant ma bouche, j'avalais.
Ma langue tournoyait autour du gland, m'arrêtant au frein où je léchais avec insistance la pointue.
La fille avait enfoui ses deux mains et caressait les parois humides de ma vulve.
Un deuxième laron arriva, la bite dressée, elle tourna la tête sans retirer ses main de mon antre.
Elle absorba le membre qui venait à elle, elle tournait la langue tout autour du gland puis avala goulument.
Elle salivait copieusement en enduisant le membre de bave et l'attrapait de la main pour le diriger vers mon petit trou.
Il poussait et le membre pénétra doucement, je poussais de petits cris.
Il commença à ramoner, allant d'avant en arrière, son membre glissait à merveille dans mes entrailles.
La fille était revenue à ses affaires, me léchant de plus belle
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Le lycée partie III

Le 01/08/2025

1 - Quelle jambes ! 3 - Grimpée sur le bar avançant à quatre pattes vers eux. 2 - En pause au foyer des élèves. 5 - Double pénétration et fellation à la salle des profs. 4 - J'aspirai peu à peu le membre qui devenait de plus en plus raide.

1 - Quelle jambes ! 3 - Grimpée sur le bar avançant à quatre pattes vers eux. 2 - En pause au foyer des élèves. 5 - Double pénétration et fellation à la salle des profs. 4 - J'aspirai peu à peu le membre qui devenait de plus en plus raide.
1 - Quelle jambes ! 
Le soir, les profs et pions se réunissaient dans la salle des profs pour prendre un dernier verre avant de rentrer.
J'avais réussi à m'introduire dans leur cercle, ainsi souvent le soir je venais dans la salle pour y passer un peu de bon temps.
Il y avait un bar au fond de la salle, j'y grimpais et avançais à quatre pattes vers eux.
Ils discutaient...
- Elles sont bien belles cette année, les lycéennes, vous ne trouvez pas ?
- Oh oui, surtout celle-là, un petit bijou, cannon la rouquine.
- Et aussi joli p'tit cul.
Le pion avait glissé sa main sous ma jupe et caressait mes fesses, jaugeant leurs rondeurs.
- Des fesses bien bombées aux courbes parfaites.
Elle a l'air affamée, la petite lionne, elle a la bouche grande ouverte.
Le pion fit glisser sa braguette de son pantalon et sortit son attribut.
- Regarde petite, voici ton biberon, tu as faim, hein.
Je baissais le bras et attrapai la verge.
- Hum, elle m'a l'air encore endormie, je vais la réveiller calmement.
Quelques savantes caresses de la main et la bête se réveilla, elle se redressait.
Je baissais la tête et approchai mes lèvres, sortis la langue et commençai à lécher.
Ma langue tournait autour du gland, léchant jusqu'à la corolle.
Puis, le bouche en rond, j'aspirai peu à peu le membre qui devenait de plus en plus raide et gonflé.
L'autre promenait son doigt le long de ma raie, s'insinuant jusqu'au haut de ma vulve.
Il massait délicatement le tour de mon anus, entrant doucement dans mon trou.
Ma tête descendait le long de son pieu et sa verge pénétrait ma gorge.
Je tournais et tournais la bouche autour du membre turgescent et de la main j'attrapais ses testicules que je massais délicatement.

 
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Le lycée final

Le 04/08/2025

Lycéenne Il ne me pénétra pas mais massa délicatement mon frénulum. Il avait glissé sa main sous ma chemise et me carraissait les seins. Slingback Yves Saint-laurent 1976 Tes mamelons, douces collines orné de pépites.

Lycéenne Il ne me pénétra pas mais massa délicatement mon frénulum. Il avait glissé sa main sous ma chemise et me carraissait les seins. Slingback Yves Saint-laurent 1976 Tes mamelons, douces collines orné de pépites.
Lycéenne 
J'étais  seule au foyer des lycéens, assise sur le canapé qu'on avait récupéré et installé dans notre local.
Un gars entra...
- Bonjour, jolie demoiselle, j'ai l'impression qu'on ne se connaît pas, c'est on déjà vu.
- Non, je ne crois pas.
Il s'approcha et s'assit à mes côtés.
- Je peux ?
- Je suis un peu subjugué, vous a-t-on déjà dit que vous étiez belle, sublime, magnifique ?
- Je peux te tu tutoyer ?
- Tes lèvres sont comme de la framboise, tes yeux  bleus comme l'océan, tes cheveux, crinière flamboyante de lionne, douce chevelure rousse.
- je ne disais mots, bercé par la poésie de ses propos.
- Tes mamelons douce collines orné de pépites.
Il avait glissé sa main sous ma chemise et me carraissait les seins.
- Il approcha sa tête.
- Puis-je te croquer tes lèvres de framboise, me noyer dans l'océan de tes yeux, plonger mes doigts dans ta rousse toison.
Je ne répondis toujours rien, ses lèvres effleurèrent les miennes, nos bouches s'unir, nos langues s'enlacèrent.
Puis sa main se posa sur ma cuisse et glissa sous ma jupe, il me caressait, remontant jusqu'à l'entrejambe.
Ses doigts glissèrent entre les lèvres de ma vulve et pénétrèrent dans mon humide calice.
Il massait mon capuchon lentement du pouce et ses doigts caressaient le velours des  parois humides de mes entrailles.
Son soufle était chaud.
- Tu es si belle, ma princesse.
Puis ses doigts s'estompèrent et, en lieu et place, il posa son sexe sur le mien.
Il ne me pénétra pas mais massa délicatement mon frénulum, frottant son gland sur le haut de ma vulve ruisselante.
C'était divin, je commençais à partir dans un nuage de béatitude.
- Oh, c'est bon. Soupirais-je.
Il restait de longs instants sans bouger, je sentais les palpitaions de son sexe de mon corps.
J'étais envahie par un océan de béatitude, au nirvana, le bonheur était intense.
Un flot titanesque se répandit dans les entrailles de mon corps, me submergeant de plaisir.
Puis, il s'extirpa de mon corps, le sexe tendu bien gonflé et cracha de nouveau un copieux jet de sa semencese répendant sur ma rousse toison.
C'était sublime, j'étais aux anges, puis il dit :
- Oups, je dois partir maintenant, désolé, au revoir mon amour.
Et au lycée, je ne l'ai jamais revu.
 
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Les grandes écoles

Le 24/07/2025

Etudiante style femme d'affaire. elle m'enfonça une bouteille ruisselante de salive dans mon trou. Veste décolletée. Jupes crayons et bas coutures. Calins entre filles.

Etudiante style femme d'affaire. elle m'enfonça une bouteille ruisselante de salive dans mon trou. Veste décolletée. Jupes crayons et bas coutures. Calins entre filles.
Etudiante style femme d'affaire. 
Après maints et maints efforts j'entrais enfin en grande école.
C'était prestigieux et tenue correcte exigée, tailleur BCBG style femme d'affaire.
J'avais un tailleur noir assez court, au-dessus du genou, une veste noire ouverte sur ma poitrine dénuée de soutien gorge.
De classiques escarpins noirs aux talons vertiges, mes talons claquaient dans les couloirs et les gars se retournaient sur mon passage.
Au départ j'étais un peu perdue dans ce grand bâtiment mais je me fis une copine, les gars n'étaient pas très intéressants.
Nous avions des rapports plus que quotidiens mais le membre du mâle pénétrant mon corps me manquait cruellement.
Bien qu'un jour en amphi, elle m'enfonça une bouteille ruisselante de salive dans mon trou intime.
Elle la tournait, enfonçait, avançant et reculant.
Le mouvement de va-et-vient commençait à me réjouir, je gémissais doucement.
Le plaisir m'envahissait, plus elle bougeait, plus il était intense.
Et une boule de feu éclata dans mon ventre en même temps qu'un terrifique orgasme.
Je ne pus m'empêcher de pousser un gigantesque hurlement.
Mon cri résonna dans tout l'amphi, le prof s'écria :
Qu'est-ce qui se passe, qu'est-ce que c'est que ce bruit ?
Timidement, je haussais la voix
- C'est moi, excusez- moi, mais une terrible douleur m'a transpercé la poitrine.
- Mais c'est passé maintenant, ça va mieux.
- Hé bien, tant mieux Mademoiselle, continuons le cours.
Les gens autour pouffaient discrètement.
Je reprenais mon souffle lentement.
La copine extirpa la bouillotte dégoulinante de ma liqueur sous les applaudissements discrets des autres étudiants.
Mais le manque de petit copain commençait à se faire sentir, j'étais vraiment en manque de sexe.
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Les grandes écoles II

Le 28/07/2025

1 - En jupe crayon. 2 - Balades entre copines dans la ville. 5 - Partie avec des gars de rencontre. 4 - Pénétration anale et fellation. 3 - Double pénétration et fellation.

1 - En jupe crayon. 2 - Balades entre copines dans la ville. 5 - Partie avec des gars de rencontre. 4 - Pénétration anale et fellation. 3 - Double pénétration et fellation.
1 - En jupe crayon. 
Souvent nous nous promenions dans les rues de la ville pour faire du shopping, mais ce qui m'intéressait, c'était de faire des rencontres.
Et un jour, nous marchions et deux gars nous abordèrent:
- Une partouze, ça vous dit les filles?
On est là-haut dans l'immeuble d'à côté.
La copine fut offusquée, mais moi je répondis:
Y'a déjà beaucoup de monde ?
Eh bien, allons voir, qu'est-ce que t'en dis.
Et nous voilà partis.
Désolé l'ascenceur est en panne.
Nous gravissions les escaliers, poliment ils nous invitèrent à monter en premières.
Je n'étais pas dupe, les gars avaient envie de se rincer l'oeil !
Nous arrivâmes péniblement à l'étage après la montée forcée infligée par les deux vicelards.
Il y avait dans le salon une petite dizaine de gars.
La copine s'écria:
- Mais il n'y a aucune fille ?
- Ne t'inquiète pas ma belle, je descends en racoler d'autres.
Et moi:
- Pas la peine, ça ira bien, on a plusieurs trous tu sais.
- Et dans chaque trou on peut y entrer à plusieurs.
Je m'approchais du canapé, deux gars étaient campés devant, mes deux mains plongèrent dans leur entrejambe.
- Alors les gars, on est prêts.
Je dégrafais les pantalons et y glissais mes mains.
J'ensortis leur deux membres, bien dréssés je les entourais de mes mains caressant de bas en haut.
Puis un peu plus prés je les gobais l'un aprés l'autre, ma langue s'enroulait autour de  la corolle.
La copine timdement était restée en retrait, les gars l'amenérent prés du canapé.
Ils lui servir un verry de whisy.
- Tiens ma belle à ta santé.
Assis sur le canapé, ils sirotèrent leurs verres tandis que j'engloutissais les deux pieux des gars.
Timidement, elle avança, et cette fois ce sont les gars qui la prirent en main.
Le gars la tenait par la taille, elle s'approchait du canapé, un mec, son membre dans la main, se caressait.
- Regarde, elle est belle hein, elle te plaît, vas-y avance et régale-toi.
Elle s'accroupit et posa ses lèvres sur son gland, sorti sa langue et commança à lécher le pourtour.
- Ho oui,c'est bon.
Elle avalait doucement en tournant la langue tout autour du gland, le sexe gonflait, le gars était aux anges.
De mon côté j'avais pris en main les deux membres, les avalant tour à tour, les léchant, les chouchoutant de ma bouche baveuse.
J'enfonçais ma bouche tout en tournant la main autour du pénis turgescent, l'autre main montait et descendait le long du membre de l'autre.
Je masturbais l'un et suçais l'autre avec tout autant de ferveur.
À côté, le gars avait relevé la jupe de la copine révélant ses fesses, ses jarretières et le haut de ses bas, il s'exclama :
- Putain! Quelle beauté ! Quel cul! Vraiment magnifique, ces deux monts rebondis dominant les gorges du plaisir.
- On ne peut qu'y plonger!
Et il plongea sa tête entre ses fesses.
Après une préparation minutieuse de l'orifice à coup de langue et de doigté expert, il engouffra son piton rocheux dans les gorges profondes des entrailles de ma copine.
Elle eut un petit soubresaut mais n'en lacha  pas moins sa prise, se délectant du délicieux membre de notre ami.
Sa bouche entourait son pénis, sa langue s'immisçant entre le gland et ses lèvres.
Sa main l'enrobait , le gars assis à côté avait son pantalon ouvert, elle y avait glissé sa main caressant ardemment la bête érigée.
Pendant ce temps je me régalais des deux sexes, tantôt chacun son tour, tantôt les deux en bouche, ma langue s'agitait de l'un à l'autre.
Un gars vint se glisser entre mes cuisses, sa langue plongeant dans mon antre humide.
De ses deux mains, deux doigts pénétrèrent mon calice farfouillant, carressant le velours de mes parois.
Sa langue s'agitait sur mon frénulum me hissant au summum du plaisir.
Un gros bruit éclata, c'était le gars qui succombait aux sévices que lui faisait subir la copine.
Le flot conséquent lui emplissait la bouche, le nectar ruisselait le long du membre comblé.
Elle retira sa bouche, mais le gars n'avait pas fini et de fortes giclées lui couvrirent le visage.
Le gars hurlait, tenant son sexe à la main, projetant de copieux jets de sperme sur la copine.
Puis elle se tourna vers le sexe qu'elle tenait dans la main depuis quelque temps, il était dur et bien raide.
À califourchon, elle s'empala en gigotant pour qu'il pénètre bien profondément.
Il poussa un gémissement de plaisir, la bouche ouverte, les yeux dans le vague.
Bien qu'elle s'agitait le deuxième gaillard reprit sa place enfonçant de nouveau son pieu dans son antre.
Elle haletait et s'agitait sur le pieu qui s'enfonçait dans son antre humide.
Un gars arriva par derrière du canapé, il avait son sexe bien raide à la main, il lui proposait et s'approchait de son visage.
Elle ouvrit les lèvres et engloutit le membre, on voyait sa petite langue faire le tour de la corolle du gland.
Elle avait l'air de se régaler de la chose, tout autant que des deux gars qui s'affairaient sur ses trous béants et ruisselants.
Les deux gars avaient craché leur venin, j'étais recouverte de sperme.
Puis, il me retourna et enfonça son pieu dans mon anus, et l'autre vint laminer mon calice.
De concert, ils me ramonaient par tous les trous et le trou restant, ma bouche, fut immédiatement envahie par un membre bien raide.
Un autre gars s'approcha, il tenait son sexe en main et l'introduisit dans mon trou déjà occupé.
- C'est vrai qu'on peut y rentrer à plusieurs, ma beauté.
 
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