Les grandes écoles
Le 24/07/2025
Etudiante style femme d'affaire. |
C'était prestigieux et tenue correcte exigée, tailleur BCBG style femme d'affaire.
J'avais un tailleur noir assez court, au-dessus du genou, une veste noire ouverte sur ma poitrine dénuée de soutien gorge.
De classiques escarpins noirs aux talons vertiges, mes talons claquaient dans les couloirs et les gars se retournaient sur mon passage.
Au départ j'étais un peu perdue dans ce grand bâtiment mais je me fis une copine, les gars n'étaient pas très intéressants.
Nous avions des rapports plus que quotidiens mais le membre du mâle pénétrant mon corps me manquait cruellement.
Bien qu'un jour en amphi, elle m'enfonça une bouteille ruisselante de salive dans mon trou intime.
Elle la tournait, enfonçait, avançant et reculant.
Le mouvement de va-et-vient commençait à me réjouir, je gémissais doucement.
Le plaisir m'envahissait, plus elle bougeait, plus il était intense.
Et une boule de feu éclata dans mon ventre en même temps qu'un terrifique orgasme.
Je ne pus m'empêcher de pousser un gigantesque hurlement.
Mon cri résonna dans tout l'amphi, le prof s'écria :
Qu'est-ce qui se passe, qu'est-ce que c'est que ce bruit ?
Timidement, je haussais la voix
- C'est moi, excusez- moi, mais une terrible douleur m'a transpercé la poitrine.
- Mais c'est passé maintenant, ça va mieux.
- Hé bien, tant mieux Mademoiselle, continuons le cours.
Les gens autour pouffaient discrètement.
Je reprenais mon souffle lentement.
La copine extirpa la bouillotte dégoulinante de ma liqueur sous les applaudissements discrets des autres étudiants.
Mais le manque de petit copain commençait à se faire sentir, j'étais vraiment en manque de sexe.
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Les grandes écoles II
Le 28/07/2025
En jupe crayon. |
Et un jour, nous marchions et deux gars nous abordèrent:
- Une partouze, ça vous dit les filles?
On est là-haut dans l'immeuble d'à côté.
La copine fut offusquée, mais moi je répondis:
Y'a déjà beaucoup de monde ?
Eh bien, allons voir, qu'est-ce que t'en dis.
Et nous voilà partis.
Désolé l'ascenceur est en panne.
Nous gravissions les escaliers, poliment ils nous invitèrent à monter en premières.
Je n'étais pas dupe, les gars avaient envie de se rincer l'oeil !
Nous arrivâmes péniblement à l'étage après la montée forcée infligée par les deux vicelards.
Il y avait dans le salon une petite dizaine de gars.
La copine s'écria:
- Mais il n'y a aucune fille ?
- Ne t'inquiète pas ma belle, je descends en racoler d'autres.
Et moi:
- Pas la peine, ça ira bien, on a plusieurs trous tu sais.
- Et dans chaque trou on peut y entrer à plusieurs.
Je m'approchais du canapé, deux gars étaient campés devant, mes deux mains plongèrent dans leur entrejambe.
- Alors les gars, on est prêts.
Je dégrafais les pantalons et y glissais mes mains.
J'ensortis leur deux membres, bien dréssés je les entourais de mes mains caressant de bas en ahut.
Puis un peu plus prés je les gobais l'un aprés l'autre, ma langue s'enroulait autour de la corolle.
La copine timdement était restée en retrain, les gars l'amenérent prés du canapé.
Ils lui servir un verry de whisy.
- Tiens ma belle à ta santé.
Assis sur le canapé, ils sirotèrent leurs verres tandis que j'engloutissais les deux pieux des gars.
Le gars avait sorti sa queue et l'invitait à la caresser tandis que sa main sous sa jupe se glissait entre ses cuisses.
Ses doigts glissaient entre les lèvres qui commençaient à mouiller, l'autre l'embrassait à pleine langue.
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Son cadeau d'anniversaire
Le 18/07/2024
Mini-jupe dorée sur bas coutures |
Je lui avais demandé de s'habiller sexy pour la soirée hauts talons, mini-jupe et bas couture.
Et la surprise arriva, le téléphone sonna, je répondis.
- C'était un collègue, il nous invite ce soir.
- Ah bon, à quelle heure ?
- Maintenant.
- Ok je vais me changer.
- Oh non ! on n’a pas le temps on doit y aller tout de suite.
- Tu es très bien comme ça, enfile ton manteau et on y va.
Il arriva accompagné d'une charmante demoiselle, flamboyante rouquine au yeux bleus, vétue d'un manteau en lainage bleu clair descendant mi-mollet d'où émergeait des jambes de rêve chaussées dans de magnifiques escarpins bleus aux talons vertigineux.
L'hôte la débarrassa de son manteau et là on découvrit sa tenue : tunique dorée et mini-jupe dorée aussi.
Touche sexy, elle avait gardé ses grands gants en peau bleues qui montaient haut sur ses poignets
la pauvre jupe avait du mal à masquer le haut de ses bas. Ses jarretelles émergeaient du dessous en deux bosses sur le devant de la jupe, divin!
Il s'avança jusqu'à elle et glissa sa main moulant ses fesses, les caressant.
Oh la, sacré petit cul, la miss !
Il remonta la mini-jupe dévoilant le haut des bas.
- je crois qu' on va se régaler.
- ça c'est sur, remonte encore un peu.
Il remonta la petite jupe,dévoilait le haut des bas et les jarretelles.
La petite ne portait pas de culotte !
Sa toison apparu.
Wahoo! C'est une vraie rouquine la demoiselle, ça va être chaud.
Voilà qui met en appétit !
Elle se tourna et l'on put admirer ses jambes gainées de bas coutures !
Cela provoqua tollé de louanges, les éloges fusèrent.
- Yahoo! sacré p’tit lot ! avec un beau p’tit cul comme ça on ne va pas s’ennuyer !
- Oh purée , quelles jambes, quel cul ! j'en bave, comment j'vais la niquer, la labourer profond.
J'ai la bite dure et impatiente.
Il arborait son membre turgescent prêt à tous les assauts.
- Ca c'est sur on va s'éclater, la défoncer par tous les trous la petite, je bande déjà.
- T'es un p’tit chanceux toi !
Un autre vociféra : Hauts talons, bas coutures, mini-jupe. Quel cocktail explosif !
- Allez, vient donc t'assoir entre nous.
Au passage elle eu droit à un festival de mains baladeuses, caressant cuisses et fesses, la plotant allègrement mais elle s'assit entre les deux gars sans broncher, aucunes remontrances.
Le gars à sa gauche passa sa main sur sa cuisse caressant la jarretelle qui émergeait au travers de sa jupe.
Devenant plus pressant, il s'élança vers le genou.
Mais quand il remonta la cuisse retroussant la jupe, elle réagit en repoussant sa main.
-Eh faut pas de gêner !
- Oh la, petite, calme-toi, on ne te veut pas de mal, bien au contraire.
Et il lui attrapa la tête par le cou et très fort de sa main lui tenant le menton l'embrassa avec vigueur enfonçant sa langue profondément.
Le baiser fut langoureux et intense mais elle ne baissa pas la garde.
Il réattaqua et réattaqua jusqu'à elle finisse par se laisser faire.
Et finalement l'homme, plus fort, réussit à atteindre son but. Ses doigts s'engouffrèrent dans sa toison ardente.
Là il glissa son doigt entre les lèvres puis remonta et du bout des doigts titillant le petit bouton caché dans le haut de la vulve.
Et il récidiva dégageant la jarretelle et le revers moiré du bas Nylon, tentant de remonter la main jusqu'entre ses cuisses mais elle le repoussait fortement attrapant son bras.
Là il s'attarda un peu, caressant du bout du doigt le clip sous le Nylon du bas et le petit ruban de soie noire.
La jupe était bien retroussée montrant sa toison rousse.
Et remonta tout en haut, il atteignit la protubérance en-dessous de la rousse toison et commença une caresse circulaire.
Mais finalement l'homme, plus fort, réussit à atteindre son but. Ses doigts s'engouffrèrent dans sa toison ardente.
Là il glissa son doigt entre les lèvres puis remonta et du bout des doigts titillant le petit bouton caché dans le haut de la vulve.
Elle semblait se calmer, il relâcha son étreinte, elle se laissa aller aux caresses.
- Hé bien, il ronronne le minou maintenant.
Elle renversa la tête, la bouche entrouverte les yeux mi-clos, on voyait qu'elle s'abandonnait dans un océan de voluptés.
Elle se laissa aller, bouche entrouverte, yeux mi-clos, au plaisir procuré par les caresses expertes de notre larron.
Elle poussait de petits cris tournoyant sa langue.
Puis à sa gauche fièrement dressé un gros phallus se languissait.
- Aller, vas-y, ne te fait pas prier je suis chauffé à blanc. Elle posa sa main gantée sur le membre turgescent comme si elle voulait en évaluer la qualité.
Et tournant autour, posa son pouce à la base du gland sur le frein qu'elle frotta lentement.
Puis la bouche entra en action, remontant le canal du bout de ses lèvres et tournoyant la pointe de sa langue à la base du gland.
Elle engloba son gland de ses lèvres rouges, on apercevait la langue qui s'agitait dans la bouche.
Elle alternait jeu des lèvres et jeu de langue léchant le tour de la base du gland.
Embrassant du bout des lèvres le gland puis le lécher en tournant et l'englober de nouveau et caresser avec la lèvre.
Monter descendre le canal. Engloutissant les bourses jusqu'à la garde.
- Gourmande la petite hein, quel magnifique travail ! Une véritable experte, quel spectacle ! Je bande comme un taureau.
Puis à tout l’entourage :
- Ouh là ! Là ! On dirait qu'elle aime la bite, la p’tite !
Il se leva et se dirigea vers elle, il s'agenouilla, pris sa jambe pour loger son pied sous son entre-jambe.
Il se frottait à sa jambe et elle lui caressa les testicules du bout de son escarpin.
Sa respiration s'accéléra, le souffle court on sentait les prémisses de l'orgasme Les râles allaient crescendo.
Et ça termina dans des râles gigantesques et tonitruants, elle lâcha prise.
On ne sait pas si c'est ça qu'il l’a déclenché mais le gars éructa une copieuse giclée de sa semence maculant le bas Nylon mais aussi les malheureux escarpins.
Tout ça n'empêchait pas notre amie d'exécuter méticuleusement son travail de la langue, des lèvres, de la bouche sur le gland et la verge.
S'enfonçant le pieu jusqu'au fond de sa gorge jusqu'a s'étrangler puis remontant lentement la bouche serrée en tournoyant sa langue tout autour du membre turgescent.
Plus le gars gémissait plus elle s'enfonçait en tournoyant et remontant pour du bout des lèvres savourer le gland surgonflé.
Un jet jaillit jusqu'au fond de la gorge dans un râle puissant il était pris de spammes projetant son nectar un peu partout sur son visage.
Le gras s'éclipsa pour laisser la place à un autre qui s'assit à côté d'elle.
Il l'attrapa par la taille et l'empala sur son membre fièrement dressé.
Au vu ou plutôt à l'entente de ses râles de satisfaction qu'elle prodiguait les aller-retours au fin fond de son trou humide lui procurait un certain plaisir.
Et un deuxième larron s'approcha, il posa son gland sur l'orifice restant libre et le poussa pénétrant lentement, petit à petit, dans son corps.
Elle criait deux fois plus, le plaisir étant doublé.
Sa bouche étant grande ouverte un troisième gaillard s'y introduit d'enfonçant jusqu'a la gorge, ses cris s'estompèrent.
Il l'avait agrippée par sa crinière flamboyante afin qu'elle avale bien jusqu'au fond son puissant appendice.
Il la chahutait allant d'avant en arrière frottant son sexe sur ses les lèvres.
La maintenant par la crinière il faisait de violents aller-retours donnant de gros coups de butoir dans le fond sa gorge, elle s'étouffait, suffoquait.
Puis il sortit légèrement son sexe afin de la laisser lécher le pourtour du gland.
Elle était très précautionneuse passant sa langue partout malgré les coups de butoir que lui assénait l'autre type
Les deux gars s'affairaient à limer consciencieusement les deux trous humides de la belle.
Malgré sa bouche bien remplie on entendait ses gémissement de plaisir, plus ils ramonaient plus elle gémissait.
Sa langue enlaçait la bête tumescente, la bouche en rond elle suçait le bout de verge, la langue passant sur le pourtour du gland , le frénulum captait toutes ses attentions.
Gourmande elle avala la bête, sa main enserrait la verge en tournant.
Sa tête avançait puis reculait la verge s'enfonçait dans sa gorge.
Puis elle sortis entreprenant la remontée du canal avec ses lèvres.
Au bout le gland était léché de tous bords, il entrait et ressortait de sa bouche la langue effleurant sa verge.
Soudain dans un immense beuglement les deux gaillards éjaculèrent pratiquement en me temps.
De puissants flux envahirent mon corps m'inondant de plaisir.
Ils avançaient reculaient dans mon ventre au rythme de leur éjections.
Un violent orgasme et un profond plaisir me gagna.
De très puissants petits cris sortaient de ma gorge, elle était au septième ciel.
Elle avait lâché ma proie mais son sexe dressé était toujours près de sa tête.
Il l'avança pour me le remettre dans la bouche mais là il eu un orgasme.
Un prodigieux jet lui inonda le visage à plusieurs reprises.
Son visage en était couvert, elle en avait partout.
Son visage en était couvert, elle en avait partout.
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Party chez les copains de Catherine
Le 20/05/2025
La jupe si courte avait bien du mal à masquer le revers de ses bas. |
C'est elle qui m'avais initiée à l'amour, entre filles d'abord, mais aussi organisa mon dépucelage.
Elle m'invita à une party chez ses copains.
Nous arrivâmes toutes les deux, j'étais habillée come pour mon anniversaire, mini-jupe et tunique dorés.
Ma copine portait une mini robe en tissu lamé, de hautes bottes recouvrant ses genoux et un imper très court rose noué sur elle.
On sonna, et se fut son ancien copain qui ouvrit.
- Bonjour, belles demoiselles, entrez donc, vous êtes ravissantes.
Il me toisait de bas en haut, ébloui par mes coutures.
La jupe si courte avait bien du mal à masquer le revers de mes bas.
- Quels merveilleux escarpins aux talons vertigineux !
Il me débarrassa de mon manteau.
- Ta copine est ravissante, Catherine, irrésistible.
Il s'approcha de moi posa ses mains sur mes épaules et descendit jusqu'aux hanches en me caressant.
- Vraiment sublime, tu m'avais caché ça.
Il posa ses mains sur mes cuisses et remonta ma jupe, apparaissaient les revers moirés scintillants de mes bas.
- Oh là là, mais c'est une vrai rousse, quelle toison alléchante, j'adore les rouquines.
Il enfonça sa tête dans la foisonnante fourrure l'embrassant avec avidité.
Puis sa langue s'immisça entre mes lèvres léchant avec précision mon calice humide.
Un deuxième gars s'approcha posa ses mains sur mes fesses et descendit léchant les coutures de mes bas.
Puis son sexe se substitua à sa langue, il le frottait ardemment sur mes mollets.
Tandis que deux doigts dans mon antre tripatouillaient mon velours humide et que la langue virevoltait autour de mon clitoris et de mes lèvres.
j'avais le souffle court, un puissant feulement accompagnait ses assauts.
Pendant mon somptueux accueil ma copine avait gagné le canapé pour y déguster l'apéritif.
Elle sirotait une coupe de champagne entourée de deux gars dont elle caressait leur membre.
Un gars apparu derrière le canapé, son sexe sorti arborait un désir non dissimulé, elle l'attrapa et l'amena à sa bouche.
Elle le goba et le suça en aller-retour, les gars caressaient ses bas et ses jarretelles.
Un quatrième larron arriva et plongea sa tête entre ses cuisses.
Ça commençait à être chaud et de mon coté aussi.
Le gars beugla en éjaculant copieusement sur mes bas le long des coutures.
Et les caresses dans mon bas ventre et la langue fouineuse sur mes lèvres m'enivrait de plaisir.
Catherine, les cuisses écartées, se régalait du travail acharné du copain tandis qu'elle savourait le membre turgescent qu'elle avait hapé dans son gosier.
Elle commençait à haleter sans pour cela se défaire du léchage du pieu, sa langue tournait autour du gland avec soin.
Finalement elle lâcha pise pour laisser place à un gigantesque cri, elle avait atteint l'orgasme ultime.
Elle était prise de soubresauts soutenus par ses gémissements, le plaisir était à son comble.
Et Le gars gicla lui aussi tout en rugissant, le visage de la belle mais aussi ses cheveux étaient maculé de son épaisse semence.
Elle hurla, rugissant comme une lionne prise de spasmes orgasmiques, elle dodelinait marmonnant, "qu'est-ce que c'est bon !"
Puis elle s'attaqua aux deux copains assis à ses cotés avalant goulument les deux phallus au bord de l'éclatement.
Elle entrait sortait, glissant sa langue dégoulinente autour des glands gonflés de plaisirs.
De mon côté c'était l'extase, ses doigts agiles titillant le velours de mon calice et sa langue baveuse avaient raison de moi.
Dans un délire spasmodique je sombrais dans un coma orgastique, je vacillais, tombais sur le canapé.
Là, je repris mes esprits calmement jouissant du plaisir donné, l'home assis prés de moi me prodiguait des caresses et m'embrassait à pleine bouche.
Catherine était toujours en train d'astiquer les deux compères, ils beuglaient, elle passait ses mains sur leurs fesses titillant leur prostate.
Sa langue faisait des tours et des tours autour de membre gonflé de désir.
- Arg ! le plaisir explosa en eux, orgasme terrifique de concert.
Ils lui emplir sa bouche copieusement voire abondamment, le sperme coulait sur ses lèvres et suintait sur sa bouche, sa gorge.
Ils se dégagèrent une gigantesque chute de sperme s'écoula de sa bouche.
Puis elle vint s'assoir à côté du gars que j'embrassais, elle lui embrassa le cou , tourna la tête et l'embrassait aussi.
Il nous embrassait toute deux à tour de rôles, elle le caressait tout autant.
Elle baissa le bras , ouvrit sa barguette et y glissa sa main, elle en sortit une belle bête qui aux caresses commençait à réagir.
Elle me sourit m'invitant à caresser le membre de ma main.
J'avais la tête sous le membre l'astiquant de mes lèvres elle sur le dessus agissait pareillement.
La voilà prise en sandwich, nos lèvres allaient venait le long du sexe gonflé à bloc.
Nos lèvres englobaient la bête des deux cotés, l'astiquant concensieusement d'avant en arrière.
nos langues virevoltaient sur le phallus turgescent.
Tout en avalant avidement son gland la copine m'embrassait à pleine langue me roulant une grosse pelle baveuse.
La copine léchait son gland tandis que j'astiquais sa tige, je remontais et partageais le gland.
Le gars était aux anges il rugissait doucement, il avait l'air d'apprécier nos caresses humides.
Dans un immense beuglement il cracha son nectar, nos visages étaient maculés de semence.
Nos lèvres englobaient la bête des deux cotés, l'astiquant concensieusement d'avant en arrière.
nos langues virevoltaient sur le phallus turgescent.
Tout en avalant avidement son gland la copine m'embrassait à pleine langue me roulant une grosse pelle baveuse.
La copine léchait son gland tandis que j'astiquais sa tige, je remontais et partageais le gland.
Le gars était aux anges il rugissait doucement, il avait l'air d'apprécier nos caresses humides.
Dans un immense beuglement il cracha son nectar, nos visages étaient maculés de semence.
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