bas-coutures
La lycéenne
Le 11/07/2024
La jupe découvrant le moiré du haut de ses bas gris |
J'observais les allées et venues du lycée car souvent les étudiantes en commercial sont vraiment canons.
Et Bingo ! ça n’a pas manqué, Oh le canon !
Une petite sortait du lycée vêtu d'un kilt très court.
Elle portait des escarpins bleu marine à haut talons décorés de deux petites brides sur le dessus.
Sa démarche chaloupée envolait sa jupe découvrant à chaque pas le moiré du haut de ses bas gris.
Arrivé à ses côtés, je ne pus résister, ma main se glissa sous le kilt et enserra la fesse.
- Oh excusez-moi, mais ça été plus fort que moi, je n'ai pu résister, ton p’tit cul est irrésistible.
Elle continua sa marche comme si de rien n'était sans doute qu'elle aimait bien mes caresses.
- Tiens ! un café, tu viens prendre un verre ?
Elle acquiesça et nous entrâmes.
Que veux-tu boire ?
- Oh un Martini.
- Ok, deux Martini s'il vous plait.
J'avais toujours une main sur sa cuisse caressant ses jarretelles.
J’entamais une approche vers l'entre-jambe le doigt glissant sur l'aine puis entrant dans l'antre caressais le petit capuchon en tournant.
Elle s'avança pour mieux se frotter, l'humidité grandissait, elle ronronnait.
Je frottais en tournant sur le petit monticule et pénétrai mes doigts dans l'humide cavité, farfouillant partout caressant les parois de velours.
Sa respiration devenait plus forte, ses gémissements plus profonds les yeux dans le vague, la bouche entrouverte elle savourait ces instants planant dans une béatitude jouissive.
Je tournais mes doigts dans l'antre humide, la tension montait, son souffle s'accélérait l'orgasme approchait.
Elle ne put contenir son cri, le plaisir était trop grand, trop intense, orgasme absolu, jouissance intense, puis parti dans une lente agonie je continuai à la caresser doucement.
Puis elle posa sa main sur mon entre-jambe, fit glisser le zip et sorti mon membre turgescent.
Elle le caressait passant la main de long en large sur le canal.
Elle s'abaissât et effleura du bout des lèvres la bête la langue sortie en pointe.
Apparemment elle connaissait son affaire ses coups de langue tournoyant autour du gland était un délice la petite savait y faire.
La bouche en rond elle avalait la bête en va et vient la petite langue léchant le frein.
Ses lèvres humides encerclaient le gland la langue léchant du frenulum au canal.
Elle accéléra dévorant mon gland.
Puis dégagea sa bouche et enserra de la main la verge commençant une masturbation, sa main allait de bas en haut.
La goba de nouveau, on entendait le bruit de déglutition et son souffle.
Sa main montait tandis que sa bouche descendait.
La langue toujours en action elle descendait engouffrant la verge au bord de l'éclatement.
Elle montait et descendait, en haut elle se délectait du gland en le mâchouillant comme un met délicat.
Sa main remontait la peau et sa langue tournoyait au sommet, léchant avec insistance le frenulum.
Puis un soigneux aller-retour le long de la verge, les deux mains caressants l'un le phallus l'autre les testicules.
Elle léchait soigneusement le frenulum lors qu'un premier jet sorti ruisselant sur mon gland puis un second plus puissant maculant son visage, la joue et l'œil.
Elle goba alors ma queue et aspira lentement le flux qui giclait dans sa bouche, je jouissais ardemment et éructais de longs râles plaintifs.
C'était divin j'étais au septième ciel, elle releva la tête et me sourit.
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