Mes yeux remontaient le long des coutures, quelle vision !

Nous arrivions à table au restaurant, courtoisement je la laisais passer devant.
Mais en fait c'était pour carresser du regard ses jambes.
Mes yeux remontaient lentement le  long des coutures, quelle vision !
Au restaurant je me  montrait les mains baladeuses.
Je caressait ses jarretelles au travers de ma jupe.
Puis glissant la main sous le fin tissu remontais retroussant la jupe et apparu sa rousse toison de lionne.
Plongeant mes doigts dans l'humide calice je farfouillais dans les replis de la caverne caressant délicatement le capuchon au sommet de la vulve.
Elle respirait fort, la bouche entrouverte et les yeux mi-clos le regard dans le vide, son visage transpirait le plaisir.
Elle gémissait discrètement puis eu un spasme, un léger cri émana de sa gorge, l'orgasme était à son paroxysme, elle haletait.
Je  retirais la main, elle reprit son souffle peu à peu, un sourire béat de satisfaction aux lèvres.
Elle est vraiment mignonne ta nouvelle recrue, dis-je au collègue.
Je lui caressait la joue puis donnais une pression sur son épaule.
 - Oui tu es très mignonne et aussi très gentille je supose, toujours bien attentionée ...

Gourmande ...

Elle semblait avoir compris et se glissa sous la table, posa sa main sur mon entre-jambe caressant mon membre qui gonflait mon pantalon.
Elle dézippa et glissa sa main à l'intérieur pour en sortir ma verge qu’elle caressa doucement puis approcha la langue pour lécher délicatement le pourtour du gland en insistant autour du frenulum.
Voilà qui commençait merveilleusement bien, c'était divin, elle s'enfonça plus profond dans sa gorge tout en pourléchant ma queue de sa langue.
Sa tête tournoyait autour de ma verge, j'empoignait  sa criniére rousse en lui massait la tête, mes doigts s'emellaient dans sa chevelure.
Elle montait, descendait et à chaque passage le plaisir s'amplifiait, je ne savais plus ou j'habitais je n'étais plus qu'un monceau de plaisir.
Puis elle s'arreta sur le gland la bouche en coeur la langue tournoyait autour et ses lévres gobaient le gland autour du frenulum, sa langue le léchait précausionement.
Elle attrapa le membre montant et descendant la main autour du pieu, la bouche toujours entre-ouverte et la langue s'agitant sur le gland.
Puis l'apotéose !
L'épais liquide jaillissait abondamment sur sa langue giclant dans sa bouche par petits jets successifs.
A chaque giclée un spasme de jouissance me submergait.
 

Faisant sauter un bouton revelant la fine dentelle (photo provisoire).

De retour au bureau, elle se posa, les fesses contre mon bureau, les deux mains posées de chaque coté.
La jupe moulante arborait les reliefs de ses jarretelles.
Je m'approchais, caressant sa joue, elle se détourna.
Ca suffit ! Maintenant !
Laissez-moi tranquille !
Oh la, mais t'étais moins farouche tout à  l'heure au restaurant.
Allez ma beauté, laisse-toi faire.
Je glissais la main dans son chemisier faisant sauter un bouton revelant la fine dentelle.
Oh que c'est migon ça !
Le collègue s'approcha.
Regardes ! Dis-t-il, en sortant son gigantesque membre, ça ne te fais pas envie cette belle bête !
Oh Pas du tout !
Mais si, tu peux toucher c'est bien dur, bien raide.
Finalement elle baissa les bras carressant délicatement les deux membres fièrement dressés.
Hum, c'est bon !
Quel talent ! Quel touché !
T'es vraiment une experte.
Il agripa sa tignasse de lionne.
Aller, te fais pas prier, tu vas adorer.
Elle fini par baisser la tête engouffrant goulûment le pieu dans sa gorge tout en attrapant le membre de l'autre le caressant tout doucement.
Elle astiquait consciencieusement chaque membre avec avidité, passant de l'un à l'autre.
De sa langue pourléchant le gland en tournant la tête la main sur l'autre verge massant le frein de son pouce.
Elle léchait ardûment chaques verges à son tour pour finalement les avaler toutes les deux.
La langue parcourait les deux membres avec méticulosité, léchant les canaux de chacune des verges.
Ils s'enfonçaient dans sa gorge à grand coup de butoir sa langue enroulant les deux appendices.
Puis elle s'empala sur le pieux d'un des gars gardant la main sur l'autre sexe le frottant sur ses seins, le suçant avec appétit.
Puis le gars se déplaça.
Et les deux collègues s'enfoncèrent dans ses deux trous humides.
Ils la ramonaient consciencieusement, elle rugissait de plaisir.
Leurs va-et-vient incessants la rendait folle, les deux membres entraient et sortaient sans relâche.
Elle était limée par tous ses trous, son souffle était court le plaisir extrême.
Les deux gars vociféraient avac violence, il lui assanait de grands coupe butoir.
Puis dans un grand beuglement les gars joussiérent, un puissant flot sortait de tous ses trous.
Elle hurla l'orgasme était intense elle  semblait tomber en pâmoison, les deux gars continuaient à la ramoner sérieux.

Bas coutures sur talons vertiges.

Vétue d'une jupe de cuir moulante je marchais le long du trotoir, mes fins talons claquaient sur le bitume en un aigu cliquetis.
Vite remarquée par un vicelare qui rôdait par là.
Il me pris en chasse, son pas était rapide, il se raprochait de moi à grand pas.
Tout près je sentais presque son souffle chaud dans mon cou.
Son regard remontant le long des coutures de mes bas Nylon, scrutant la fente de ma jupe espérant apercevoir le revers irrisé du haut de mes bas.
Inspectant la proéminence de mes jarretelles sous ma jupe, se délectant des petits plis du Nylon aux chevilles.
Nous marchions depuis un certain temps lorsque nous passâmes devant un hôtel.
Je tirai la porte vitrée et entrai.
Le patron affichait un large sourire.
Que puis-je faire pour vous ?
Je désirerais une chambre.
Vous comptez rester  longtemps ?
Oh non, pas du tout, juste...
Je m'interrompis brusquement réalisant que j'allais dire une bétise, mais trop tard ...
Ah bien,bien repondit-il en arborant un sourire complice, dans ce cas je vais vous donner cette chambre ci.
Il me tendit la clé, étonnant c'était la numéro un, je vais vous y conduire ...
Il ouvrit la porte , la poussa, se dégagea m'invitant à entrer.
Le gars était resté à l'entrée.
Venez monsieur , votre dame vous attends, entrez s'il vous plait ...

Quelles jambes !

Coutures vues de-ci de-là.
La photo no 1 provient de mes archives personelles.